S’orienter aujourd’hui

 
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dans 50 % des cas, l’élève n’envisageait 
pas la filière proposée par l’algorithme 
comme une réelle piste à explorer.
 
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dans 33 % des cas, c’est parce qu’il
ne la connaissait même pas.
Quoique nécessaire, une riche information 
n’est donc pas suffisante pour susciter de 
l’intérêt ou créer la vocation ; elle nécessite 
d’être amenée de façon adaptée et présentée 
de façon attractive.
www.inspire-orientation.org
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scolaires ; ainsi, à titre d’exemple, l’antenne Auvergne-Rhône- 
Alpes du Medef avec le soutien de la région, de la Direccte
et de l’Europe a mené 260 entreprises à échanger avec 
7 513 lycéens en 2018
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.
Enfin, les plateformes en ligne ne sont pas en reste et sont de 
plus en plus nombreuses à proposer tchats, webinaires, mises 
en relation via messagerie instantanée ou connexion vidéo.
2.3. Les plateformes de tests
Le règne des algorithmes s’est également étendu au monde 
de l’orientation. On ne compte plus les plateformes qui ga-
rantissent aux élèves un bilan personnalisé afin de devenir 
des « experts d’eux-mêmes » ou qui opèrent un matching 
entre des qualités personnelles et des compétences métiers.
Pour donner plus de chair à ces tests, certains sites, tel celui de 
la start-up Pixis, lauréate des trophées de l’orientation Oriane 
de la région Île-de-France en 2019, les doublent de « belles his-
toires »
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et tentent de déconstruire les stéréotypes.
Dans d’autres cas, des tests psychotechniques constituent 
une première étape de la découverte de soi et sont discutés 
ensuite avec un coach.
Certains établissements supérieurs ont même pris le train
en route telle l’université d’Aix-Marseille (avec son site
tufaisquoiapreslebac.fr).