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297 Les acteurs principaux du conseil et de l’audit financier et comptable au Japon sont : ChuoAoyama Pricewaterhouse Coopers (en février 2007, la presse japonaise a toutefois annoncé que PwC ne garderait plus que le cabinet Aarata en activité, planifiant par contre de fermer son autre cabinet connu sous le nom de Misuzu, à la suite du scandale des irrégularités comptables concernant ses clientes Kanebo et Nikko Cordial - UPDATE 1-PricewaterhouseCoopers' Japanese unit to shut down, Reuters, Feb 21, 2007; EDITORIAL/ Accounting firm’s fall, The Asahi Shimbun, February 22, 2007), DeloitteTouche Tohamatsu, KPMG Azusa & Co., BDO Sanyu & Company (dont la maison-mère est belge), Ernst & Young ShinNihon et Business Brain Showa-Ota (siège à Tokyo avec des bureaux à Osaka, Nagoya et Shizuoka).


298 Thomas C. Smith, The introduction of Western Industry to Japan during the last years of the Tokugawa period, HJAS II (1948), pp 130 – 152.

299 A l’époque on utilisait l’expression « Fukoku kyouhei » pour « Enrichir le pays et renforcer l‘armée ».

300 Hiromi Yamamoto, La R&D japonaise passe à la vitesse supérieure,Le Japon à la page, Le Journal de Jetro Paris N°50, 1er trimestre 2006, p.2.

301 Richard J. Samuels, “Rich Nation, Strong Army”: National Security and the Technological Transformation of Japan, Ithaca: Cornell University Press, 1994; William Keller and Richard Samuels, “Innovation and the Asian Economies”, in William Keller and Richard Samuels, eds, Crisis and Innovation in Asian Technology, Cambridge University Press, 2003; Gregory P. Corning Japan and the Politics of Techno-Globalism, M.E. Sharpe, Armonk, N.Y., 2004

302 Joseph Greenberg, Kazuko Fujita and lessons for trademark registration in Japan, Magazine N°73, Japan Inc Oct. 2007.

303 JPO Annual Report 2006-Concerning the publication of the Current Status and Issues of Industrial property rights – Toward the Deepening of Intellectual Property Strategy for the 21th century.

304 Kazuaki Okimoto, Parallel import of non-genuine product constitutes trademark infringement in Japan, WINDS from Japan, LES Japan, N°21, Sept. 2003; Jinzo Fujino, Parallel Import into Japan Carry a Duty of Care, les Nouvelles, December 2003; Makoto Endo, New Japanese Rules regarding Parallel Import of Trademarked Goods, CASRIP Newsletter Autumn 2003: Kazuaki Okimoto, Parallel import of non-genuine product constitutes trademark infringement in Japan, WINDS from Japan, LES Japan, N°21, Sept. 2003.

305 Elle avait en effet signé, en avril 1994, pour une durée de 3 ans, un contrat avec Fred Perry Sportswear de licence de fabrication, vente et distribution pour les pays suivants : Singapour, Malaisie, Burnei Darussalam et Indonésie.

306 Takamasa Miyake, Patent Office plans to improve registration scheme, Yomiuri Shimbun, Aug. 20, 2007.

307 Toshihiko Kanayama, Forecasting the Future of Japanese Technology Licenses from Trade and Patent Statistics, WINDS N°32 LES Japan Oct. 2007.

308 JPO Annual Report 2006-Concerning the publication of the Current Status and Issues of Industrial property rights, op.cit.

309 Wilhemina Wahlin,  National Treasure – Protecting Japan’s Intellectual Property , Magazine N°72, J@pan Inc, Summer 2007.

310 commenté par le conseil en propriété intellectuelle Jean-Paul Martin in La nouvelle politique économique du Japon: devenir une “nation basée sur la propriété intellectuelle”! , le Blog-Brevets de Jean-Paul Martin.

311 Wilhemina Wahlin, op. cit.

312 Pour une description détaillée de ce programme consulter Kei Konishi, The Patent Prosecution Highway Pilot Program launched, WINDS from Japan, LES Japan, Dec. 2006, pp 2-4.

313 Patent Highway between the UK and Japan to open shortly, AG IP News, March 27, 2007.

314 Jinzo FUJINO, Solution or Expansion - The Supreme court set another rule on employee invention, WINDS from Japan, N°30, Dec. 2006, pp 1 – 2.

315 Juinichi Yamasaki, Hitachi Metal Employee Invention Case, WINDS from Japan, N°22, Jan. 2004.

316 Hill, David W., A series of inventor compensation claim in Japan, IP Litigator, Jan 2005.

317 Hiromine Masako, Olympus case concerning an employee’s invention, R.L.R., N°22, 2005, pp 122 – 126.

318 Kazuaki Okimoto, The court-mediated agreement in the case of Nichia Corp. vs. Dr. Shuji Nakamura at the Tokyo High Court on January 11, 2005, WINDS from Japan, N°26, June 2005.

319 Jinzo Fujino, Development of Employee’s Invention cases, WINDS from Japan, N°23, March 2004.

320 Ces Recommendations sont venues remplacer un texte alors vieux de 20 ans qu’avait précédemment adopté la même institution, exactement le 24 mai 1968, qui portait l’intitulé « Guidelines for International Technology Introduction Agreements ». Pour des commentaires sur ces Recommendations, consulter par exemple : Bradley J. Nicholson, Japanese Fair Trade Commission Guidelines for licensing agreements : an overview and a critique, Goergia Journal of international and comparative law, 1991,Vol. 21, N°1, pp 1 – 49 ; Yoshio Mataichi, Antitrust aspects of patent licence agreements in Japan, Patent World, Sept. 1991, pp 16 – 19 ; Mark Abell, Japanese antitrust law and patent and know how licensing, EIPR, 1990, pp 413 – 417 ;Yoshio Ohara, New Japanese guidelines for the regulation of restrictive clauses in patent and know-how licensing agreements, IIC, N°5/1990, pp 645 – 661.

321 Pour plus de detail consulter http://www.jftc.go.jp/e-page/pressreleases/2007/September/070928_IP_Guideline.pdf.

322 Michael Porter, The Competitive Advantage of Nations, 1990.

323 Kenji Suzuki, Competition Law Reform in Britain and Japan: comparative analysis of policy networks, European Institute of Japanese Studies East Asian Economics and Business Series, Routledge, 2002, en particulier consulter pp. 18 – 26, pp. 93 – 103.

324 les lois Export Association Act for smaller exporters et Important Export Commodities Industrial Association Act for smaller manufacturers.

325 Alex Y. Seita & Jiro Tamura, The historical background of Japan’s Antimonopoly Law, University of Illinois Law review, 1994, pp. 115 et s.

326 Alex Y. Seita & Jiro Tamura, id.

327 Cette loi est entrée en vigueur le 20 juillet 1947. Elle constitua le premier texte fondamental du pays en droit de la concurrence. Cependant, au 16ème siècle, fut déjà adoptée une politique d’abolition des privilèges monopolistiques des associations de négoce ou guildes connue sous le nom Raku-ichi-raku-za.

328 Leur formation a une origine assez lointaine. Sumitomo a, en effet, été constituée au 16ème siècle puis Mitsui au 17ème siècle, suivi de Yasuda au 18ème siècle et Mitsubishi au 19ème siècle. Au cours de la fin du 19ème siècle, le gouvernement Meiji facilita la croissance et renforça par ailleurs le pouvoir de marché des zaibatsu de différentes manières, notamment en leur accordant le transfert de propriété d’importants biens comme les mines et les chantiers navals. A l’exception de Nakajima, les 9 autres zaibatsu représentaient 15% du capital total libéré au Japon en 1937 (Okazaki Tetsuji, The role of holding companies in pre-war Japanese Economic Development: rethinking zaibatsu in perspective of corporate governance Social Science Japan Journal vol. 4, N°2, 2001, pp 243 – 268).

329 Le rapport Edwards est largement commenté par Harry First dans Antitrust In Japan: The Original Intent, Pacific Rim Law and Policy Journal, February 2000.


330 Alex Y. Seita & Jiro Tamura, Section C (Purge of Business Executives), id.

331 Ulrike Schaede, Cooperative Capitalism: Self-Regulation, Trade Associations, and the Antimonopoly Law in Japan, Oxford Univ. Press, 2000. Schaede, un des grands experts contemporains du droit de la concurrence japonais, montre dans cet ouvrage le rôle relativement mineur joué par le MITI dans les cartels à l’export constitués par les organisations professionnelles tant ces organisations ont surtout fonctionné par un système d’auto-régulation. Elle observe que cette auto-régulation a surtout joué dans les industries se caractérisant par un faible taux de changement technologique.

332 Harry First, Antitrust In Japan: The Original Intent, Pacific Rim Law and Policy Journal, February, 2000.

333 James D. Fry, Struggling to teethe: Japan’s antitrust enforcement regime, Law and Policy in International Business, Summer 2001, pp. 825 et s.

334 James D. Fry, idem.

335 Pour une description des pratiques commerciales déloyales, Dossier Francis Lefebvre JAPON, N°520 à 524 inclus.

336 Directive du 22 novembre 2002 remplaçant sa précédente directive du 8 décembre 1997 relative aux sociétés holding constituant une concentration excessive de puissance économique.

337 Toshiaki Takigawa (Professor of Law, Faculty of Law, Kansai University, Osaka), The Prospect Of Antitrust Law And Policy In The Twenty-First Century: In Reference To The Japanese Antimonopoly Law And Japan Fair Trade Commission, Washington University Global Studies Law Review Winter/Summer 2002, Symposium APEC Competition Policy and Economic Development.


338 C’est l’Allemagne de Bismarck qui est à l’origine des cartels, lesquels furent institués dans le but de promouvoir l’industrialisation du pays pour mieux rattraper l’industrie britannique. De 1888 à 1887, les tribunaux allemands avaient reconnu le droit pour les entreprises de constituer des cartels et dans les années 20 le pays était dominé par ceux-ci. Le Japon n’avait fait qu’imiter l’Allemagne et l’essor des cartels japonais est surtout apparu dans les années 30 après la promulgation de la loi relative au contrôle des industries majeures. Bien qu’ils fussent encore plus puissants que ceux du Japon, l’Allemagne s’est détourné de ses cartels avec davantage de résolution que le Japon. Le contexte facilitait les choses en raison en effet, d’une part, d’un changement d’idéologies au sein de sa population et, d’autre part, du fait que l’Allemagne ne pouvait pas échapper à l’influence croissante du Marché Commun européen et au droit communautaire de la concurrence dont les normes, en termes de transparence notamment, ont toujours été élevées (John O. Haley, Antitrust in Germany and Japan: the first fifty years, 1947-1988, Univ. Of Washington Press, Seattle, 2001).

339 loi N°214 du 18 juin 1949 (Shiteki Dokusen no Kinshi oyobi Torihiki no Kahuho ni Kansuro Kenshin Kosu).

340 Cette règle a été appliquée pour la première fois par la JFTC en 1973 au regard des administrateurs de Hiroshima Railways qui avaient exercé également leur fonction au sein d’une société concurrente (JAPON, Dossiers internationaux, Francis Lefebvre, N°535).

341 loi N°259 du 1er septembre 1953.

342 On aurait pu penser que les Américains, en instituant la JFTC, auraient concomitamment transféré une partie des pouvoirs de régulation de la concurrence au Ministère de la Justice, comme c’était le cas aux Etats-Unis, mais ce n’est finalement pas ce schéma qui a été retenu.

343 Guy Faure, Le MITI et la libéralisation de l’économie japonaise, Economie et Politique du Japon Contemporain, novembre 1979.

344 société qui résultait de la fusion «orientée» par le MITI en 1939des sociétés Yawata Steel Industries, Wanishi Seitetsu, Kamaishi Mines, Fuji Aciéries, Kyûshû Aciéries et Mitsubishi Sidérurgie.

345 requêtes provenant d’une administration pour une coopération volontaire pouvant avoir plusieurs formes: indications (shiji), requêtes (yobo), avertissements (keikoku), suggestions (kankoku) ou encouragements (kansho).

346 John O Haley, Antitrust in Germany and Japan: The First Fifty Years 1947-1998, Univ. of Washington Press (2001).

347 J. Mark Ramseyer, The Costs of the Consensual Myth: Antitrust Enforcement and Institutional Barriers to Litigation in Japan, 94 YALE L.J. 604, 617 (1985).

348 Michael L. Beeman, D. Phil., Japan’s flawed antitrust regime, a Japan Information Access project working paper, 1999, p. 4.

349 Asahi Shimbun, 28 août 1973, p. 11.

350 Tout plaignant potentiel est également tenu d’attendre la décision formelle de l’autorité de concurrence avant de pouvoir engager une action au civil sur le fondement de l’article 25 du Code Civil.

351 Newspaper Route et Tôei Shin Tôei.

352 Yoshiro Miwa and J. Mark Ramseyer, Toward A Theory Of Jurisdictional Competition: The Case Of The Japanese FTC, Journal of Competition Law & Economics, June, 2005.

353 Makoto Kurita, Effectiveness and Transparency of Competition Law Enforcement—Causes and Consequences of a Perception Gap Between Home And Abroad on the Anti- Monopoly Act Enforcement in Japan, Washington University Global Studies Law Review 2004, 387.

354 id, voir sous note N°114.

355 NTT était la plus importante société de télécommunications du pays à l’époque. Sa domination du marché était si problématique que le gouvernement envisageait de la faire éclater en plusieurs sociétés de petite taille. Le syndicat des travailleurs de NTT voyait d’un mauvais œil un tel projet, étant concerné par les différenciations de conditions de travail parmi les nouvelles sociétés créées. Or, ce syndicat jouissait d’une sphère d’influence puissante au sein du parti socialiste et de la Confédération des Syndicats Japonaise ce qui accrut les tensions politiques avec le PLD. Le gouvernement trouva une voie de sortie par le système de la holding qui pouvait permettre le contrôle uniforme des conditions de travail.

356 On craignait qu’une institution financière devienne trop puissante au point d’exercer une domination économique. Andrew H Thorson and Frenk Siegfanz, The 1997 deregulation of Japan’s holding companies, Pacific Rim Law and Policy Journal, March 1999.

357 Kaoru Morishita, Elite Council to Tackle Supply-Side Issues, Nikkei Wkly., Mar. 15, 1999.

358Uesugi Akinori, Latest development in Competition Enforcement in Japan: can the Antimonopoly Reform be successful?

359 “Competing at home to win abroad”.

360 Makoto Kurita, Effectiveness and Transparency of Competition Law Enforcement—Causes and Consequences of a Perception Gap Between Home And Abroad on the Anti- Monopoly Act Enforcement in Japan, Washington University Global Studies Law Review 2004, 387.

361 A la demande insistante des Américains, la JFTC a, principalement au cours des années 90, utilisé la méthode d’études de marché dans les secteurs automobiles, des pièces détachées pour automobile, du papier et du verre plat. On observera que chacune de ces études a été conduite par la division de recherche économique de la JFTC et non par sa division des poursuites, James D. Southwick, Addressing market access barriers in Japan through the WTO: a survey of typical Japan market access issues and the possibility to address them through WTO dispute resolution procedures, Law and Policy in International Business, Spring 2000, pp. 923 et s. Autres exemples : en décembre 1999 une étude de marché dans le secteur du gaz a été lancée, une autre dans le secteur de l’électricité en juin 2002 et, en novembre 2002, c’est le secteur des télécommunications qui a été la cible d’une nouvelle étude.

362 Par exemple, Recommandations sur les accords appropriés dans le domaine de l’énergie électrique (JFTC et METI, décembre 1999, successivement mises à jour en juillet 2002 et mai 2005); Recommandations concernant les accords dans le domaine du gaz (JFTC et METI, mars 2000, révisées en août 2004); Recommandations pour la politique de concurrence dans le secteur des télécommunications (JFTC et Ministère de la Gestion Publiques des Affaires Intérieures, de la Poste et des Télécommunications, novembre 2001, révisées en décembre 2002 et juin 2004).

363 Il est prévu que dans les deux années qui suivent la promulgation de cet amendement à la loi anti-monopole un bilan soit effectué pour, au besoin, renforcer le processus de réforme.

364 Des groupes comme Matsushita Electric Industrial Co en savent quelque chose puisque la FTC a récemment mené des investigations sur leurs pratiques de prix en matière de tubes cathodiques pour téléviseurs ( FTC inspects Matushita arm over price cartel , The Yomiuri Shimbun, Nov. 10, 2007).

365 Le plafond applicable pour désobéissance à une ordonnance de la JFTC est de 500.000 yens ; il est de 300.000 pour désobéissance à une injonction judiciaire. Bien que ces montants représentent 10 fois ceux initialement prévus en 1977, ils restent faibles et par conséquent peu dissuasifs. En tout état de cause, ces amendes sont rarement appliquées.

366 ANNUAL REPORT ON COMPETITION POLICY IN JAPAN, (January-December 2006), p. 5.

367 A titre de comparaison, la Commission Européenne peut infliger aux entreprises et associations d'entreprises des amendes jusqu'à concurrence de 10 % du chiffre d'affaires total réalisé au cours de l'exercice social précédent par chacune des entreprises ayant participé à l'infraction (i) lorsqu'elles commettent une entente illicite ou un abus de position dominante;(ii) lorsqu'elles contreviennent à une décision ordonnant des mesures provisoires ; (iii) ou encore lorsqu'elles ne respectent pas un engagement rendu obligatoire par une décision de la Commission.

368 Sauf pour les délits aux marchés publics.

369 Petroleum Oil, 38-4 Keishu 1287 (Sup. Ct., Feb. 24, 1984) (Criminal Report): dans cette affaire, la Cour Suprême avait déclaré sans ambiguité que la valeur juridique méritant protection est l’ordre économique concurrentiel libre.

370 Shigeki Kusunoki, Shaping an antimonopoly law sanction regime against cartels or bid collusion: a perspective on Japan's choice, University of Detroit Mercy Law Review, Spring 2002, pp. 399 et s.

371 arrêt du 9 avril 1997 aff. Dejikon Denshi K.K. c/ Hihon yugi ju Kyodo Kumiai.

372 Regulation in Japan- Crime and punishment, The Economist January 19th 2008, pp 58-59.

373 James D. Fry, Struggling to teethe: Japan’s antitrust enforcement regime, Law and Policy in International Business, Summer 2001.

374 Seule une poignée des agents de la JFTC a suivi jusqu’à son terme la formation d’avocat. Dans son ensemble par conséquent, la JFTC dispose de peu d’experts qualifiés en droit ce qui peut expliquer sa timidité à se lancer sur le terrain de discussions juridiques. Dans le chapitre relatif à la négociation de contrats commerciaux avec des groupes japonais, nous avons abordé le thème de l’aversion des Japonais pour le droit en règle générale qui bien qu’il semble cependant s’effriter avec le temps, peut également justifier le tempérament modéré pour le recours aux débats juridiques.

375 Shogo Itoda, “Remarks at a meeting organized by The Royal Institute of International Affairs 4 (Feb. 22, 2000); pour une étude récente spécifique sur les amendes administratives consulter (en japonais), SENSUI Fumio, Surcharge as an antitrust sanction against private monopolizations, Kobe Law Journal, Vol. LV, March 2006, N°4.

376 Les membres de la JFTC sont sélectionnés par les services du Premier Ministre parmi le personnel d’autres agences gouvernementales et sont nommés avec l’agrément des deux chambres du Parlement (art. 29 de la loi anti-monopole). Le Président de la JFTC, une fois nommé, ne peut être révoqué pendant une période de cinq ans. Pendant longtemps, les présidents de cette autorité furent surtout choisis parmi d’anciens retraités du Ministère des Finances, mais d’autres furent désignés une fois à la retraite du Ministère de la Justice, du Ministère des Affaires Etrangères ou du MITI.

377 Re-regulating Japanese transactions: the competition law dimension, ICCLP Review 2000, vol. 3 N°2.

378 Nikkei, 31 mai 1996, p.1.

379 Toshiaki Takigawa (Professor of Law, Faculty of Law, Kansai University, Osaka), The Prospect of Antitrust Law and Policy in the Twenty-First Century: in reference to the Japanese Antimonopoly Law and Japan Fair Trade Commission, Washington University Global Studies Law Review Winter/Summer 2002, Symposium APEC Competition Policy and Economic Development.

380 entré en vigueur le 9 août 2003.

381 Makoto Kurita, Effectiveness and Transparency of Competition Law Enforcement—Causes and Consequences of a Perception Gap Between Home And Abroad on the Anti- Monopoly Act Enforcement in Japan, Washington University Global Studies Law Review 2004, 387.


382 Akinai Uesugi , Enforcement activities against cartels: what is going on in Japan, speech before the International Cartel Workshop, American Bar Association, texte disponible sur le site de la JFTC.

383 Sharp, Hitachi Displays suspected of price fixing for LCD panels, The Asahi Shimbun, Feb. 28, 2008; Fair trade watchdog raids Sharp, Hitachi unit over suspected price-fixing for LCDs, The Mainichi Shimbun, Feb. 28, 2008.

384 FTC Chief administrative fines should be flexibly imposed, The Asahi Shimbun, April 3, 2007.

385 Naosuke Fujita, David litt & Kohei Yamamoto, FTC introduces leniency programme, International Financial Law Review, Jan. 2006, Guide to Japan, pp 39-43. En France, la procédure de clémence (Article L. 464-2 du Code de Commerce) a été instaurée par une loi du 15 mai 2002. Pour la première fois elle a été appliquée par le Conseil de Concurrence le 11 avril 2006 dans le cadre de pratiques mises en oeuvre dans le secteur de la fabrication des portes (décision N°06-D-09), puis le 18 décembre 2007 à l’égard de sociétés positionnés sur le marché du déménagement des personnels militaires (decision N°07-D-48) et pour la 3ème fois, le 21 mai 2008, dans le cadre d’une entente de fabricants de contreplaqué (decision 08-D-12).

386 Akinori Uesugi (Secretary-General Fair Trade Commission of Japan), A leniency program à la Japonnaise- How is it going to be enforced, Fifth Annual FALL FORUM, Section of Antitrust Law, American Bar Association, Nov. 16, 2005.

387 Pour le détail de cette procédure voir Akinori Uesugi, id.

388 FTC to ease fines on 3 firms as they disclosed bid-rigging info, Kyodo News International, Aug. 10, 2006.

389 ANNUAL REPORT ON COMPETITION POLICY IN JAPAN, (January-December 2006), p. 2.

390 affaire commentée par KATAOKA Masayo in Ritsumeikan Law Review, N°24, 2007, pp 77 – 83.

391 La Hörei est remplacée depuis le 1er janvier 2007 par la Hö no Tekiyô ni kansuru Tsûsokuhô (Loi sur les règles générales concernant l’application des lois). Cette loi précise en son article 17, § 1 qu’en matière de responsabilité délictuelle la loi applicable est celle du lieu dans lequel les effets de l'infraction sont apparus.

392 loi N°14 de 1934, amendée en 1990 par la loi N°66 , sur la Prévention de la Concurrence Déloyale (Fusei Kyôsô Bôshi Hô).

393 Le mouvement de réforme avait aussi des partisans parmi le milieu industriel japonais qui sentait le besoin de renforcer la protection de ses propres technologies non brevetées. En outre, l’espionnage industriel devenait une vraie question de préoccupation au sein des entreprises japonaises dont la puissance d’exportation allait croissante.

394 entrée en vigueur le 1er juin 1991.

395 Les décisions du Tribunal de District de Tokyo référencées ci-dessus sont citées par York Faulkner et Yoshikazu Iwase, in Trade secret litigation, IP Litigator, May/June 2004, pp 33-35.

396 Norman T. Braslow, The recognition and enforcement of common law punitive damages in a civil law system: some reflections on the Japanese experience, Arizona Journal of International and Comparative Law, Spring, 1999.

397 Le procès opposait la société Athena K.K. à la société Nagano-ken Keisanki Center K.K. – jugement du Tribunal de District de Tokyo du 19/02/73.

398 2005 Amendment of the Unfair Competition Prevention Law, Journal of JIPA, Vol 6, N°1, June 2006.

399 Cette loi et sa préparation ont particulièrement fait la une des médias japonais ; de toute l’histoire de l’édition juridique japonaise, la vente des ouvrages sur la responsabilité du fait des produits a atteint les meilleures performances, Luke Nottage, Product Safety and Liability Law in Japan. From Minamata to Mad Cows, London 2004.

400 loi N°85 du 1er juillet 1994 entrée en vigueur le 1er juillet 1995 (Seizobutsu Sekinin Ho)

Le régime de la responsabilité du fait des produits, antérieurement à cette loi, avait fait l’objet d’une très abondante littérature. A titre d’exemples: Yasuhiro Fujita, Japanese Product Liability law, The Japan Business Law Journal, vol. 1, Nov. 1980, pp 160 - 182; Adachi, Henderson, Miyatake & Fujita, Product Liability, a manual practice in selected nations», Japan, Oceana Publications, Inc. , release 2, November 1981, 69 pages; Thomas Olandt et Hideoki Ozaki, La responsabilité du fait des produits au Japon, Droit & Affaires, N°443, octobre 1985, p. 7 – 18; Yukihiro Asami, Product Liability Legislation in Japan: turning point nears, East Asian Executive Reports, August 2003, pp. 16 – 22.



401 On peut observer à de nombreux égards que la directive du Conseil 85/374/CEE du 25 juillet 1985 relative au rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des Etats membres en matière de responsabilité du fait des produits défectueux a servi de modèle au législateur japonais.

402 En France, la loi sur la responsabilité du fait des produits défectueux a été promulguée le 19 mai 1998. Jugée non conforme à la directive communautaire de 1985, elle a fait l’objet d’une modification le 9 décembre 2004.

403 L’article 570 du Code Civil stipule: “S’il existe un vice caché dans l’objet d’une vente les dispositions de l’article 566 s’appliquent» .

L’article 566 du Code Civil prévoit que “Quand un acquéreur n’a pas eu connaissance que l’objet d’une vente est frappée d’une hypothèque et quand l’hypothèque fait obstacle à l’objet du contrat, l’acquéreur peut exiger la rescision du contrat». Le même article prévoit que si la vente n’est pas empêchée malgré l’hypothèque, l’acheteur peut solliciter des dommages – intérêts correspondant à la valeur du produit.



404 L’article 709 est ainsi libellé: «Quiconque viole intentionnellement ou par négligence les droits d’autrui doit réparation du préjudice causé».

405 En particulier, l’affaire de pollution de la baie de Minamata (Préfecture de Kumamoto) à la suite de rejet de mercure par la société Chisso, un fabricant de produits de fertilization. Des milliers de victimes furent atteintes de syndromes neurologiques à la suite de la consommation de poissons contaminés. Une longue bataille judiciaire opposa les victimes (plus de 10.000) ou certaines d’entre elles aux responsables, ce qui se termina notamment par un arrêt de la Cour Suprême en 2004 en faveur des victimes. EDITORIAL :Minamata disease, The Asahi Shimbun, May 5, 2007 ; Suit seeks new criteria for Minamata victims, The Yomiuru Shimbun, May 17, 2007 ; « Unrecognized Minamata disease patients » to receive lump-sum payments, certification, The Asahi Shimbun, July 3, 2007.

406 A ce sujet consulter Jason F. Cohen, The Japanese product liability law: sending a pro-consumer tsunami through Japan's corporate and judicial worlds, Fordham International Law Journal November, 1997.

407 La maladie de SMON, Le Japon, bulletin d’information trimestriel de l’association culturelle franco-japonaise de Tenri, N°3, octobre – décembre 1979, p. 16.

408 Coalition plans redress for food-poison victims, The Asahi Shimbun, April 12, 2007.

409 affaire évoquée par Mark A. Behrens & Daniel H. Raddock dans leur article Japan's new product liability law: the citadel of strict liability falls, but access to recovery is limited by formidable barriers.

410 Phil Rothenberg, Japan's new product liability law: achieving modest success, Law and Policy in International Business, 2000.

411 Phil Rothenberg, id. , consulter également Tim Larimer, Osaka; with reporting by Sachiko Sakamaki/Sanbu and Donald Macintyre/Tokyo, Targeting Japan Inc.: Amid a series of product scandals, the nation's consumers are using new laws to fight at last for their rights (2)” Tima Asia, 25/09/2000 (http://www2.gol.com/users/coynerhm/targeting_japan_inc.htm)

Les Kaji regardent la télé un soir, en compagnie de leur fille de 25 ans. Tout à coup, ils entendent un "pop", l'image se transforme en un unique point blanc central qui finit par disparaître. Pensant faire réparer ça le lendemain, ils débranchent la télévision et vont dormir. Dans la nuit, de la fumée envahit leur logement: Les Kaji s'enfuient rapidement, pensant que leur fille aussi s'était mise à l'abri. Mais les pompiers la retrouveront morte près d'un téléphone. Les autorités n'ont jamais trouvé ce qui avait pu causer ce feu, les Kaji étant persuadés que c'était dû au téléviseur défectueux...mais personne ne les crût, ou ne voulut les croire. La police leur demanda de ne pas parler du téléviseur, parce qu'elle ne voulait pas créer de panique générale.



412 Un fonds d’indemnisation fut créé dans le secteur de l’industrie pharmaceutique juste après l’affaire “SMON”. Les ressources de ce fonds consistent en des contributions des fabricants domestiques de médicaments, des importateurs de médicaments et du gouvernement. Ce fonds propose une prise en charge de frais médicaux, des allocations en cas d’handicap ainsi que le versement de fonds en cas de décès.

413 Susan H. Easton, The path for Japan?: an examination of product liability laws in the United States, the United Kingdom, and Japan, Boston College International and Comparative Law Review, Spring, 2000.

414 Loi abondamment commentée. A titre d’exemples, pour les articles en langue anglaise, on peut consulter Mark Robert C. Weber, Strict Product Liability Reform Legislation in Japan: Learning from "Design Defects" in the American and European Legal Systems, MGMT. INT'L REV., Jan. 1993; A. Behrens & Daniel H. Raddock; Japan's new product liability law: the citadel of strict liability falls, but access to recovery is limited by formidable barriers, University of Pennsylvania Journal of International Business Law, 1995; Marcuse Why Japan’s new product liability law isn’t, 5 Pac. Rim. L. & Pol. J., 365, 1996; J. Mark Ramseyer, Products Liability Through Private Ordering: Notes on a Japanese Experiment, U. PA. L. REV. 1823, 1828 (1996); Nancy L. Young, Japan's New Products Liability Law: Increased Protection for Consumers, 18 LOY. L.A. INT'L & COMP. L.J. 893, 895 (1996); Wendy A. Green, Comment, Japan's New Product Liability Law: Making Strides or Business as Usual?, 9 TRANSNAT'L LAW. 543, 544-45 (1996); Hiroshi Sarumida, Comparative Institutional Analysis of Product Safety Systems in the United States and Japan: Alternative Approaches to Create Incentives for Product Safety, 29 CORNELL INT'L L.J. 79, 80 n.10 (1996); Jason F. Cohen, The Japanese Product Liability Law: Sending a Pro-Consumer Tsunami Through Japan's Corporate and Judicial Worlds, 21 FORDHAM INT'L L.J. 108, 136 (1997); ; Melchinger For the collective benefit: why Japan’s new strict product liability law is «strictly business?, 19 U. Hawaii L R 879, 1997; Phil Rothenberg, “apan's new product liability law: achieving modest success, Law and Policy in International Business, 2000; Luke Nottage Products Liability in the 21st Century Substantive U.S. and Foreign Product Liability Law: The present and future of product liability dispute resolution in Japan, William Mitchell Law Review 2000; Susan H. Easton, The path for Japan?: an examination of product liability laws in the United States, the United Kingdom, and Japan, Boston College International and Comparative Law Review Spring, 2000.

415 Par exemple, un logiciel défectueux intégré dans le système de contrôle d’un véhicule ou aéronef ou équipement électroménager à l’origine de la perte d’une vie humaine, ou d’un dommage corporel ou d’une atteinte à des biens sera assimilé à n’importe lequel des composants du produit litigieux. Alors qu’au contraire ce ne sera pas le cas d’un programme applicatif tel qu’un jeu électronique ou un logiciel de traitement de textes ou encore un tableur.

416 Commentaire rédigé par le Bureau des Affaires Civiles du Ministère de la Justice (MOJ), Bureau national de la sécurité des personnes au sein de l’Agence de Planification Economique, Seizobutsu Sekinin Ho no Kaisetsu.

417 De même, le législateur français a choisi d’inclure parmi les «produits» ceux constitués par «un élément du corps humain ou par les produits issus de celui-ci» (article 1386-12, al. 1 du Code Civil).

418 Sur les techniques de management de risques s’appuyant sur le principe de précaution, lire Precautionary Principle as an Enhanced Risk Management Technique, Jun Kawai, Nobuyuki Yoshizawa, Shunji Takagi, Satoshi Iwai, Tomochiko Sakao, Journal of Mitsubishi Research Institute, N°44 (January 31, 2005), article en japonais. En droit communautaire, les trois critères suivants, outre les circonstances de la cause, ont été retenus pour qualifier l’obligation de sécurité du producteur: (i)la présentation du produit, (ii) l’usage du produit auquel on peut raisonnablement s’attendre et (iii) le moment de sa mise en circulation.

419 Cass 1ère Ch. Civ., 24 janvier 2006

420 Phil Rothenberg, Japan's new product liability law: achieving modest success, Law and Policy in International Business, 2000.

421 laquelle elle aussi a eu une gestation difficile puisqu’elle a été finalisée après 10 années de discussions.

422 The first year of Japan’s new product liability law, Donald L. Morgan et Shirley A. Chowdhary, East Asian Executive Reports, July 15, 1996, pp. 9-11-12.

423 Product - liability insurance is in strong demand since Japan's product - liability law took effect in July, according to industry sources, Nikkei Weekly, October 9, 1995; Japanese Firms Brace for First Laws on Consumer Rights, and Insurers Gain, Jathon Sapsford, Wall Street Journal, Mar. 8, 1994, A13 .

424 Susan H. Easton, The path for Japan?: an examination of product liability laws in the United States, the United Kingdom, and Japan, Boston College International and Comparative Law Review Spring, 2000.

425 Entre 1975 et 1997, le contentieux américain de la responsabilité du fait de produits défectueux a explosé. En moins de 25 ans, le nombre de procédures enregistrées rien qu’auprès des “federal courts» est passé de 2393 à 32856. Depuis, on comptabilise une moyenne de 15000 procédures par an portées devant ces juridictions. A cela, il faut ajouter les procès pendants devant les «state courts». C’est une estimation globale de 30000 actions judiciaires par an aux Etats-Unis sur le fondement de produits défectueux, soit environ un ratio de 9000 par habitants, qui a été établie en 2002 (chiffres cités par Mathias Reimann dans Liability for Defective Products at the Beginning of the Twenty-First Century: Emergence of a Worldwide Standard?, American Journal of Comparative Law, Fall 2003)

426 Japan's new product liability law: achieving modest success, Law and Policy in International Business, 2000.

427 Le retrait des produits défectueux était déjà de pratique courante dans de nombreux secteurs tels que par exemple ceux de l’automobile, des équipements électroménagers, des produits pour bébés et enfants, ou encore des produits de combustion. Le MITI avait diligenté en décembre 1991 une étude en la matière sur la période de 1985 à 1990. On trouve une présentation sommaire de ladite étude dans Product recalls in Japan par Hisaya Kimura, a paper presented at the 12th SBL Biennal Conference, Paris, 17th-11nd September 1995 (International Bar Association).

428 Sony pourrait revoir ses prévisions financières après les rappels de batteries, Le Journal du Management, dépêche sur internet du mardi 17 octobre 2006.

429 Le Nihon Keizai Shinbun notamment l’a abondamment évoqué dans ses colonnes.

430 Japan’s new product liability ADR Centers: bureaucratic industry or consumer informalism?, Nottage &Wada, 6 Zeitschrift für japanisches Recht 40, 1998.

431 Ces exemples sont cités par Eric C. Sibbitt dans son article The Americanization of Japanese Law, University of Pennsylvania Journal of International Economic Law, Summer 2002 ainsi que par Phil Rothenberg dans Japan's new product liability law: achieving modest success, Law and Policy in International Business, 2000.

432 En décembre 1995, le propriétaire d’un restaurant âgé de 42 ans attaqua en justice la société Dai Nippon Printing à la suite d’une blessure à son pouce au moment où il ouvrit un boîtier à thé. Il réclamait à la partie défenderesse un total de 910.000 yens à titre de dommages-intérêts, dont 10.000 pour le remboursement de ses frais médicaux, 350.000 pour perte de revenus et 500.000 pour préjudice moral (isharyo). Le requérant bénéficiait d’un contexte favorable dans la mesure où, postérieurement à l’assignation, le fabricant apporta une modification dans la conception de son produit, ce qu’ébruita la presse japonaise. Un tel contexte a vraisemblablement poussé le fabricant à rechercher une solution amiable.

433 Un touriste japonais avait voulu goûter les joies de la prostitution en Thailande et avait utilisé un préservatif qui n’avait finalement pas bien fonctionné, à la suite de quoi il intenta un procès devant les juridictions de Tokyo contre le fabricant du préservatif puisqu’il craignait d’avoir contracté le SIDA. Le tribunal rejeta cependant l’action au motif que l’intéressé n’aurait pas dû se livrer à un acte sexuel avec une prostituée. En quelque sorte, sa propre faute lui était opposable.

434 Une fillette décéda en juillet 1996 par contamination de cette bactérie et les parents engagèrent une procédure à l’encontre de la municipalité de Sakai sur le fondement de la responsabilité du fait des produits défectueux. Le 10 septembre 1999, le Tribunal de district d’Osaka ordonna à la municipalité défenderesse de verser une indemnité de 45,3 millions de yen aux parents de la victime.

435 Can Japanese Consumers Stand Up and Fight,Business Week Online, 11/09/2000,

(http://www.businessweek.com/2000/00_37/b3698126.htm).



436 Targeting Japan Inc.: Amid a series of product scandals, the nation's consumers are using new laws to fight at last for their rights, Tim Larimer, Tima Asia, 25/09/2000,http://www2.gol.com/users/coynerhm/targeting_japan_inc.htm.

437 Phil Rothenberg, idem.

438 EDITORIAL/ Safety issue at Toyota, The Asahi Shimbun, 13/07/2006, http://www.asahi.com/english/Herald-asahi/TKY200607140193.html

439Govt scolds Paloma over fatal CO poisoning orders quick recall, Kyodo News International, Aug. 28, 2006; Paloma offers bereaved families compensation, The Yomiuri Shimbun, Dec. 26, 2006; EDITORIAL/Product safety, The Asahi Shimbun, August 30, 2006; Police consider case against Paloma executives, The Yomiuri Shimbun, Jan. 29, 2007; Paloma heaters suspected after 10 poisoned by CO, The Yomiuri Shimbun, February 5, 2007; In 408 million yen suit, Paloma may settle, The Japan Times, February 9, 2007

440 Rinnai publicizes types of water heaters over CO poisoning scandal, Kyodo News, February 1, 2007; Rinnai claims gas heaters not faulty, The Asahi Shimbun, February 12, 2007; EDITORIAL : Rinnai’s responsibility, The Asahi Shimbun, February 12, 2007; Rinnai to halt TV commercials, carry out inspections for free, The Japan Times, February 11, 2007; Rinnai water heaters toed to 3 CO deaths/ Lack of safety devices also led to 12 injuries, The Yomiuri Shimbun, February 11, 2007.

441 Heaters reportedly killed 133, The Yomiuri Shimbun, February 12, 2007; 61 dead after using gas heaters; The Yomiuri Shimbun, February 14, 2007.

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