Ўзбекистон республикаси олий ва ўрта махсус таълим вазирлиги ўзбекистон давлат жаҳон тиллари университети роман-герман филологияси факультети

«La noce ouzbèque »
Depuis des siècles viennent les cérémonies de mariages.Ce sont les fêtes bonnes, gaies, joyeuses et belles.Chaque peuple a ses traditions et ses coutumes.
En Ouzbékistan le visiteur qui entre dans la famille souhaite au maitre, à la maitresse de la maison de la santé, de la paix et obligatoirement de la noce. En effet la noce c’est la fête familiale.
L’été et l’automne est la saison de noces en Ouzbékistan.On sert de grandes tables dans la cour, on invite des parents, des connaissances, des amis, des collègues, des voisins. Chacun qui passe devant la maison en fête peut y entrer et participer.Cette tradition est gardée et en ville et aux villages.
On prépare le palove pour 150-200 personnes parfois plus. Avant le mariage les marieurs visitent la maison de la fiancée pour recevoir son consentement et ceux de ses parents.
Bien sûr, les jeunes décident cette questions eux-mêmes, mais la tradition reste. Le fiancé accueille sa fiancée, entourée de ses amies, de ses proches. La musique joue, on chante des chansons consacrées à la belle fiancée.
Tout le monde est gai, il ya beaucoup de fleurs, d’illuminations, de
félicitations. Les hôtes admirent le don de la belle fiancée, préparé par ses parents.Ce sont des malles pleines de vêtements achetés spécialement pour la fiancée, parfois on achète des meubles et des objets nécessaires pour les jeunes fiancés. On rit, on s’amuse, on danse jusqu’à très tard dans la nuit .

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Document 3
Khachar.
Lisez le texte.
Tout le monde, même les enfants, peuvent vous expliquer ce que c’est qu’un Khachar, quelle est cette fête.
Ce jour-là le monde – les vieux et les jeunes vont travailler ensemble, nettoyer les rues, les places, planter des arbres, aider à bâtir une maison. C’est à dire travailler ensemble et faire un grand travail à un jour.
Cette ancienne tradition existe toujours, c’est la fête nationale du peuple. De cette mèthode-là on creuse des canaux, en automne on récolte les fruits et les légumes et même on construit des villes et des villages surtout à ceux qui on souffert du tremblement de terre ou de l’inondation. Après le travail on sert du pilaf, les plats nationaux, on se repose, on chante, on danse.