Presentation

95    ^ Son vrai nom de famille est Delorme, Jean-Marie.

96    ^ Voir LMC, vol. 1, lettre 18, pp. 59-60.

97    ^ 24 décembre (cf. Chronologie, p. 71).

98    ^ Le secrétaire est différent; l'écriture change.

99    ^ Lire: ennuis.

100    ^ Le texte original écrit: des honneurs. (LMC, vol. 1, lettre 79, p. 190).

101    ^ Le texte original écrit: nous en avons fait. (LMC, vol. 1, lettre 83, pp. 197-198).

102    ^ En fait à M. Berthier qui, nommé vicaire général, n'est plus curé de La Côte. (Voir LMC, vol. 1, lettre 94, pp. 210-211).

103    ^ Dans le texte on lit sous-diance.

104    ^ Fr. Avit semble ignorer que les Ginot sont plusieurs frères dont les uns résident à Soulages tandis que les autres sont à Paris. Voir LMC, vol. 2, pp. 258-262.

105    ^ Hameau proche de l'Hermitage, où se trouve la maison Ginot.

106    ^ Voir LMC, vol. 1, lettres 95 pp. 212-214; lettre 106 pp. 228-229; lettre 116 pp. 243-244.

107    ^ Tint (ou mieux tenait).

108    ^ Double erreur: M. Fontbonne n'était pas Père Mariste, et il n'y avait aucun Père Mariste avec lui dans le diocèse de Saint-Louis, USA. Voir OME, ext. pp. 330-332; LMC, vol. 2, pp. 221-222.

109    ^ Accord aujourd'hui irrégulier, mais conforme à la construction classique (ablatif absolu).

110    ^ Le futur Frère Avit.

111    ^ Voir LMC, vol. 1, introduction à la lettre 306, pp. 552-553.

112    ^ Saint-Nizier est une des paroisse de Lyon.

113    ^ Pour toute cette affaire, voir LMC, vol. 1, pp. 290-297.

114    ^ Rivory.

115    ^ Mieux. Peigneaux (cf. ci-dessus n 204.

116    ^ Ce jour-là le P. Champagnat se trouve à Lyon pour préparer son voyage à Paris. Voir LMC, vol. 1, lettre 169, pp. 333-335.

117    ^ Lire Lachèze.

118    ^ Médicament dont la composition nous est inconnue.

119    ^ Dans l'original, on lit: "une lithographie". Voir LMC, vol. 1, lettre 174, pp. 350-353.

120    ^ Cette lettre est du 16 mars. Voir LMC, vol. 1, lettre 180, pp. 364-367.

121    ^ Cette lettre est adressée, non à Fr. François, mais à Fr. Hilarion, directeur à Boulieu, Ardèche. Voir LMC, vol. 1, lettre 181, pp. 367-369.

122    ^ Cette lettre est adressée à Fr. Antoine, directeur à Millery, Rhône. Voir LMC, vol. 1, lettre 183, pp. 372-374.

123    ^ On trouvera le texte de ce journal dans LMC, vol. 1, à partir de p. 335.

124    ^ Lire Boucher.

125    ^ Lire Grangier.

126    ^ Le Fr. Avit a oublié de tourner la page du registre où il y a encore pour la même vêture: Aphrate (Morgue), Apronien (Crozet), Antigone (Neyret), Aphrodise (Bâty).

127    ^ Voir le texte intégral de cette lettre dans LMC, vol. 1, lettre 195, pp. 394-396.

128    ^ Ecrit d'abord administration, puis surchargé en admission par une plume plus récente.

129    ^ Comme nous sommes dans une vêture en B, il s'agit évidemment de Basilée.

130    ^ Lire Courbon.

131    ^ Le F. Avit est mort en 1892. Il avait écrit ici une autre date, 1884 ou 1885, mais elle a été raturée et changée en 1889 (peut-être par lui-même).

132    ^ Mot employé à l'époque dans le sens de conforme à ou adapté à.

133    ^ Allusion sans doute à Vie, éd. 1989, p. 218 où l'auteur constate que l'avis donné par le T.H.F. Anaclet n'est pas franchement en faveur du P. Champagnat: "Contre son attente, il fut un peu dans le sens du ministre".

134    ^ Plutôt qu'au sens de marchandise défraîchie, il faut penser à l'idée de gens qui partent après avoir chanté une saison.

135    ^ Biefs.

136    ^ Voir LMC, vol. 1, lettre 18, pp. 59-60.

137    ^ Puces ou punaises.

138    ^ Le passage entre crochets a été écrit postérieurement.

139    ^ Ce qui est dit ici ne correspond pas à la relation que donne F. Jean-Baptiste dans Vie, éd. 1989, 1re partie, p. 225. L'initiative ne viendrait pas du P. Champagnat mais du P. Colin venu spontanément à la retraite à cet effet après avoir passé auprès de l'archevêché pour se munir de toutes les autorisations nécessaires.

140    ^ Ecrit nostri. La correction: nosti est postérieure (autre plume, autre écriture).

141    ^ Ses opinions légitimistes ne lui permettaient pas de sympathiser avec le régime de juillet. Aussi, à la mort du cardinal Fesch, le gouvernement l'a écarté du siège archiépiscopal en nommant d'abord le cardinal d'Isoard. Celui-ci mourut avant de prendre possession du siège et fut donc remplacé par Mgr. de Bonald.

142    ^ Ce document accompagnait la lettre à Mgr. de Bonald. Voir le texte en entier dans LMC, vol. 1, pp. 573-574.

143    ^ L'original de ce tableau ne se trouve pas dans les Archives des FF. Maristes à Rome, mais il s'y trouve deux autres, l'un de 1833 et l'autre de 1837. Le second, établis sans doute par F. François, reprend le premier de la main du P. Champagnat en le complétant. On peut se demander si celui que présente ici F. Avit a vraiment existé ou s'il n'est que celui de 1837 qu'il aurait complété lui-même. En le comparant à celui qui se trouve dans Circ. vol. I, pp. 308-312, on trouvera quelques variantes.

144    ^ Les Frères ont commencé dans une maison louée avec la promesse de n'y rester qu'un an. En fait ils ont attendu deux ans pour pouvoir occuper la maison construite pour leur école.

145    ^ Cet établissement n'est pas mentionné sur les autres tableaux que nous possédons. C'est sans doute F. Avit lui-même qui l'ajoute, mais à tort, car les Frères n'ont pris en charge cette maison qu'en 1840. Voir LMC, vol. 1, l'introduction à la lettre 306, pp. 552-553.

146    ^ Lyon: on peut s'étonner que l'on note ici pour la première fois la présence de Frères à Lyon, La Favorite, au service des Pères. Cela s'explique sans doute du fait qu'on ne savait pas sous quel statut placer ces Frères: restaient-ils Frères Maristes ou étaient-ils Frères coadjuteurs ou Joséphistes?

Belley: en plus des 5 Frères à la Capucinière, il y avait donc des Frères au service des Pères qui ne savaient pas bien non plus s'ils étaient Maristes ou Joséphistes.

147    ^ Cette phrase laisse perplexe. On se demande d'où F. Avit tient ces chiffres, car s'il avait totalisé le nombre de Frères et d'élèves de ce tableau, il aurait obtenu: 159 Frères et 5.969 élèves.

148    ^ Voir dans Circ., vol. I, pp. 38-39.

149    ^ Il s'agit ici de 3 cérémonies différentes de vêtures.

150    ^ On a complètement effacé le chiffre primitif, on l'a remplacé par le chiffre 300 que l'on a ensuite barré pour mettre le chiffre 280, si bien qu'il nous est impossible de connaître les estimations du F. Avit.

151    ^ Notre liste, par ordre de fondation, en porte 72 au 31 décembre 1839, mais elle y comprend les maisons fondées par MM. Mazelier et Vernet avant cette date.

152    ^ Voir renvoi n 80 ci-dessus.

153    ^ Réunis dans 105 classes.

154    ^ Dans le sens de alimenter

155    ^ Poncet, Pierre né à Saint-Didier-sur-Chalaronne, entré: 28-01-1839; vêture: 09-05-1839; vœux temporaires: 13-10-1839.

156    ^ lire: s'embrouillait.

157    ^ Cette tombe est celle qui se voit encore dans le cimetière. Le mausolée qui la surmonte ne sera érigé que l'année suivante. Voir ci-dessous, 1842, nos 81-82. Le tombeau primitif du P. Champagnat ne se trouvait donc pas exactement à cet endroit.

158    ^ Il faut dire à sa décharge qu'il était curé de la paroisse de Saint-Paul, ce qui l'empêchait de s'occuper suffisamment des Frères, d'autant plus qu'il n'a pas toujours été secondé par un vicaire. F. Paul, le premier membre de la Congrégation, tout en assurant une place, partageait avec le fondateur la responsabilité de la Congrégation.

159    ^ F. Avit simplifie quelque peu l'affaire. La correspondance de M. Mazelier que nous possédons dans nos Archives montre qu'il semble avoir préféré s'unir avec M. Deshayes et que la distance constituait le plus grand obstacle. D'autre part du côté de son diocèse il n'a pas reçu que des conseils favorables à l'union avec les Frères Maristes.

160    ^ Grand conseil: conseil élargi comprenant les membres du Conseil général et quelques autres Frères qui y avaient été appelés, comme il sera dit ci-après.

161    ^ Insérer ici: dont le zèle est si pur, si désintéressé et si généreux, se constituent sous la dépendance... (Circ. vol. I, p. 510).

162    ^ Lire: transfert.

163    ^ Donc si on lit bien, l'aumônier du noviciat, désigné par le R.P. Colin lui-même, fera parti du conseil, aura voix délibérative pour certaines décisions et une fonction de surveillance.

164    ^ L'Institut va être doté d'une province. C'est un fait nouveau qui n'était pas encore prévu dans nos Règles. D'où, en attendant, on se basera sur le modèle des FEC.

165    ^ Les mots entre parenthèses se trouvent ainsi dans le texte.

166    ^ Il avait écrit au ministre pour solliciter l'extension de son autorisation sur les autres diocèses où la nouvelle Congrégation est installée. Voir plus loin n 23; Circ. vol. I, p. 501.

167    ^ Comprendre: ces maisons ont été fermées avant 1850 parce que les Frères ne pouvaient pas y vivre.

168    ^ Lire: constituèrent la Province du Midi.

169    ^ Le mot bienveillante est en surcharge on peut donc lire: bienveillante charité ou charité bienveillante.

170    ^ Voir Annales de l'Institut, vol. 1, p. ***, nos 286-292; LMC, vo. I, pp. 290-291.

171    ^ Préconisé le 19 décembre 1825 et sacré le 19 février 1826. Cf. LMC, vol. II, p. 100.

172    ^ Le 23 juin 1842. Cf. Circ. vol. I, pp. 546-547.

173    ^ Le 30. Cf. op. cit., p. 547-548.

174    ^ Ce mot n'avait certainement pas pour F. Avit le sens que nous lui donnons. Il faudrait donc lire: amusement, plaisanterie.

175    ^ Dans les annales de Bouillargues, le même F. Avit raconte l'affaire plus en détail. Malgré sa longueur, voici ce récit:

M. le curé monta à l'Hermitage un jeudi et annonça qu'il n'en partirait qu'avec 3 Frères. Il promit au P. Matricon de chanter la grand'messe le dimanche suivant. Chacun des Pères dit donc la sienne avant 9 heures. L'instant venu, M. Carle alla trouver le F. François et lui dit: "Vous allez me désigner de suite les trois Frères qui doivent me suivre, ou vous vous passez tous de la grand'messe." Les raisonnements du F. François furent inutiles. Il fallut en passer par là. Faute d'autres, le C.F. Jean-Baptiste s'offrit comme directeur et cuisinier avec les FF. Basilien et Béronique pour seconds. Mgr. Carle put donc les installer le 24 novembre. Le C.F. Jean-Baptiste relevait à peine d'une assez longue maladie. Néanmoins il voulait faire le catéchisme aux enfants chaque jour tantôt dans une classe tantôt dans l'autre, même à l'église. La maison étant à côté de la cure, M. le curé et ses vicaires vinrent plusieurs fois l'écouter sans être aperçus. Ils y amenèrent même une fois des convives. Après avoir écouté, ces MM. se retiraient en disant: "Si les cuisiniers font ainsi le catéchisme chez les FF. Maristes, nous ne pourrons pas nous aventurer avec eux et nous devrons baisser pavillon.

176    ^ Il s'agit donc de Frères coadjuteurs formés à Belley.

177    ^ Il faut lire 15.000 enfants. Voir Circ. I, p. 73.

178    ^ Voir plus haut 1842, n 30.

179    ^ On a corrigé ce passage qui devient: "Ils dirigeaient les 14 écoles dont les noms suivent."

180    ^ Le texte primitif mettait parmi les établissements Saint-Jean-de-Maruéjols, de plus Lanas a été ajouté postérieurement.

181    ^ Voir le texte de ce prospectus dans Circ. vol. I, pp. 382-384.

182    ^ Fucum: du latin, ornement artificiel, beauté apparente. Faire fucun = faire accroire.

183    ^ L'original de cette lettre ne se trouve pas dans les archives. Elle est reproduite dans Circ. vol. I, pp. 384-388. Entre ces deux versions, quelques variantes sont à relever, mais elles ne sont pas de l'ordre de rectifications comme l'annonce ici F. Avit. Deux passages notamment peuvent être considérés comme ajoutés par celui-ci. Ils sont mis entre crochets.

184    ^ Dans la version de Circ. vol. I, on lit: armées.

185    ^ Lire: n'est pas encore bien vigoureux.

186    ^ Le tableau que l'annaliste dit être un résumé fait par lui-même se trouve exactement reproduit dans Circ. I, de même que le paragraphe qui suit résumant la finale de la lettre. Il est donc difficile de savoir qui copie qui.

187    ^ Ce "sujet" n'est autre que F. Avit. Voir donc Annales de l'Institut, vol. 1, p. V.

188    ^ Marsac, Puy-de-Dôme. Mgr. Louis-Charles Féron, évêque de Clermont de 1834 à 1879.

189    ^ Fable de Lafontaine Le renard et le buste, livre IV, fable 14. "C'était un buste creux et plus grand que nature, le renard, en louant l'effort de la sculpture: "Belle tête, dit-il, mais de cervelle point."

190    ^ Nom donné aux Calvinistes cévenoles qui luttèrent contres les armées de Louis XIV après la révocation de l'édit de Nantes (1685).

191    ^ L'expression: "de l'Instruction chrétienne" qui figurait dans notre nom depuis la fusion avec les Frères de Saint-Paul était en effet commune à plusieurs congrégations de Frères contemporaines de la nôtre.

192    ^ F. Avit lui-même.

193    ^ Renversement de Louis-Philippe par la Révolution de 1848.

194    ^ Voir plus haut note n 40.

195    ^ Voir 1848, n 39.

196    ^ Suivent ensuite les paragraphes II, III et IV qui ne sont pas rapportés ici. Cf. Circ. vol. II, pp. 46-55.

197    ^ Il faut sans doute lire: étaient aux prises avec la loi, mis en difficulté par la loi.

198    ^ Lire: sur.

199    ^ Il faut sans doute lire classes.

200    ^ C'est-à-dire le premier jour des vacances.

201    ^ L'annaliste nous ramène ici trois années en arrière, à savoir 1848 dont voici en résumé la suite des événements. Les 22, 23 et 24 février 1848 un brusque soulèvement de Paris provoque l'abdication du roi Louis-Philippe qui n'a que le temps de fuir en Angleterre. Le 24 au soir, la République est proclamée. Socialistes et communistes prennent le pouvoir, mais ne réussiront pas à mettre de l'ordre dans l'administration, moins encore à satisfaire le peuple. Aussi, dès le 22 juin, des émeutes éclatent, les barricades se dressent dans de nombreuses rues de Paris. Une véritable guerre civile oppose l'armée régulière aux émeutiers. Mgr. Affre, archevêque de Paris, voulant calmer les belligérants, tombe mortellement atteint d'une balle en voulant traverser une barricade, le 25 juin. Le lendemain, 26, le calme revient, la République "une et indivisible" est à nouveau proclamée. Il fallait alors élire un nouveau Président. Louis-Napoléon, recueillant une bonne majorité des suffrages, est proclamé Président le 20 décembre.

Cette révolution eut de larges répercussions dans les pays voisins de la France, notamment en Italie où le Pape, menacé dans ses Etats pontificaux, doit fuir à Gaète. L'armée de Louis-Napoléon le rétablit dans ses Etats. Pie IX reprit son siège à Rome, le 12 avril 1850.

202    ^ sous-titre de la rédaction.

203    ^ Cette lettre est bien signée par le R.P. Colin, mais elle n'est pas écrite de sa main. Elle ne porte aucune indication postale. Elle a donc dû être portée par quelqu'un. A la date du 11 juin 1852, la discussion des Règles communes était terminée. Le 12 juin, dans la séance du matin, c'est le voeu de stabilité qui était à l'ordre du jour et dans celle du soir, le premier chapitre des Règles du gouvernement. Dans la séance du soir du 14 juin, veille de la clôture, le Chapitre approuva le texte reconstitué de l'allocution faite par le R.P. Colin au début de la session, mais nulle allusion n'est faite à cette lettre du 11.

204    ^ D'après les articles du Chapitre, le projet de Règle, au chapitre 8 : "Des suffrages pour les morts" prévoyait à l'article 6 : "Pour un Frère Assistant... l'on fera célébrer neuf messes basses..." et à l'article 7 : "A la mort de chaque Frère Profès... on fera dire neuf messes basses... Le procès-verbal de la discussion mentionne : "L'article 6 est adopté en y ajoutant ces mots "ou ancien Assistant". Sur l'article 7 on décide par 19 voix contre 13 qu'il doit être amendé. On adopte définitivement, par 24 voix contre 8, l'amendement de quinze messes au lieu de neuf à la mort d'un Frère Profès, la messe d'enterrement comprise." On tomba donc dans l'anomalie de 9 messes pour un Assistant ou ancien Assistant et 15 pour un Profès, anomalie qui a été corrigée dans le texte imprimé en mettant 15 messes aussi pour un Assistant.

205    ^ Cette lettre adressée au F. Athanase est datée du 13 juin 1852. Or les débats sur le chapitre 8 des Règles concernant les suffrages aux défunts ont eu lieu dans la séance du soir du 2 juin. Il faut donc penser que F. François ne s'est pas pressé pour expédier sa lettre.

206    ^ Donc, d'après des Actes du Chapitre la séance de l'après-midi du 2 juin 1852.

207    ^ Toujours d'après les Actes du Chapitre, les votes ont été pris durant la séance de discussion. A la fin de la séance, "l'ensemble du chapitre 8ème est mis aux voix et adopté à l'unanimité avec les modifications sus mentionnées." Le rapport de la séance suivante, matin du 3 juin, commence ainsi : "La séance est ouverte à neuf heures. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté à l'unanimité après quelques explications. Le Révérend Frère Supérieur, Président, déclare au Chapitre qu'il est content de la manière dont se font les objections et observations sur les projets qu'il soumet aux délibérations et aux votes du Chapitre."

208    ^ Même les Actes du Chapitre n'y font aucune allusion.

209    ^ Affirmation très lourde si l'on compare ce récit avec les Actes officiels du Chapitre.

210    ^ La séance de clôture a eu lieu le matin du 15 juin 1852.

211    ^ La guerre d'Italie de 1859 à 1864 pour libérer l'Italie de toute domination étrangère, notamment l'Autriche, en vue de l'unification de l'Italie ce qui fut une menace pour les Etats pontificaux.