Kutlu Akalıin
Mardin Artuklu University, Institute of Living Languages in Turkey,
Syriac Department, Mardin, Turkey;
kutluakalin@yahoo.com
Emperor Anastasius and His Web of Relationships between the East and the West
This paper will focus on the intercommunal position and international activities of the
Emperor Anastasius at the turn of the fifth to sixth centuries. Anastasius has long been associated
with the establishment and subsequent survival of the Syrian Orthodox church in the easternmost
parts of the Roman Empire. There was a period of pro-miaphysite dominance also at court and
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the capital during Anastasius’ reign. The subsequent period, the reigns of Justin and Justinian, saw
the rise and solidification of Chalcedonian orthodoxy at the capital and elsewhere in the western
provinces. Anastasius came to enjoy celebrated memory in the east while in the west he almost
received a damnatio memoriae. The paper will dwell on the circumstances of this contrast in the
emperor’s impression on the historical record.
Rev. Radomir V. Popović
University of Belgrade, Faculty of Ortodox Theology, Belgrade, Serbia;
akademijaspc@gmail.com
Le role de l'empereur sur les conciles oecumeniques -
exemple de l'empereur Constantin le Grand
Dans l’histoire pré-byzantine de l’Eglise chretienne du IV
e
au VIII
e
siècle, les conciles
ecclésiastiques, en tant que les conciles oecuméniques ont un rôle très important. Cette époque des
conciles oecuméniques commence avec l’empereur Constantin le Grand, dans l’empire qui vers la fin
du IVème siècle devient un empire chrétien. C’est par cela même que le rôle de l’empereur dans la vie
de l’Eglise fut très significatif. C’est lui qui, entre autres, fait convoquer les conciles ecclésiastiques
en y prenant part en personne ou par l’intérmédiaire de ses représentants. Toutes les résolutions,
soient-elles dogmatiques ou ecclésio-dogmatiques furent signées par l’empereur et cela en même
temps par les êvéques participant aux conciles.
C’était le cas du Premier Concile dit le Concile de Nicée de l’année 325 sur lequel fut condamnée
l’hérésie du prêtre Arius. Par le fait que les résolutions des conciles furent signées par l’empereur lui-
même, elles eurent ainsi la force et l’autorité non seulement en tant que les stipulations ecclésiastiques
concernant la foi ou le dogme et le foncionnement de l’Eglise, mais égalment en tant que les lois
officielles auxquelles sont soumis tous les citoyens de l’Empire.
Les hérétiques ainsi condamnés sont sanctionnés selon les lois de l’état, expulsés et privés des
troits civiques. C’est justement dans ce ségment que se reflète le mieux une relation mutuelle entre
le pouvoir spirituel et séculier dans l’époque pré byzantine qui commença avec Constantin le Grand,
avec la promulgation de l’Edit de Milan et avec ses conséquences positives concernant la vie de
l’Eglise chrétienne tout au long du Moyen Âge.
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