Presse du 30. 04. 2010 ! +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ grenelle
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- Fan des énergies renouvelables, je suis devenu anti-éolien
- Les riverains du projet éolien font appel - Gorges
- Les associations contre le projet éolien offshore - Barneville-Carteret
- Désaccords autour du projet éolien dans la commune - Treffendel
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! +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ GRENELLE Appel national de la Fédération Environnement Durable « MAIL-MANIFESTATION» J-4 Les débats du Grenelle vont commencer le 4 mai à l'assemblée nationale. Continuons à envoyer des mails Les promoteurs s’affolent, les medias nous écoutent, beaucoup d’élus de toutes les tendances , comprennent maintenant notre combat Même M. le Ministre de l’environnement J.L. Borloo vacille en déclarant à l’agence de presse Reuters le 27 avril c'est-à-dire au monde entier, …." Sur l'éolien, je ne sais pas à la vérité quelle est la bonne solution, je ne sais pas"….. Les députés vont-ils se soumettre à des groupes privés qui se concertent et accepter leurs pressions pour les éloigner de l’intérêt général? Aidons nos deputés qui s’élèvent contre ces ingérences Nous sommes des citoyens responsables et respectant la legalité nous avons le droit de leur écrire Vous pouvez par exemple envoyer un mail à tous les élus de votre département pour qu’ils soutiennent l’amendement déposé par 20 des leurs qui demandent une zone de protection autour des éoliennes égale à 10 fois la hauteur en bout de pale, soit 1500 m pour une éolienne de 150m de haut Mesdames de La Raudière, Grosskost, Marland-Militello, Colot, Louis-Carabin, Deniaud, Tardy,Trassy-Paillogues, Gatignol, Caillaud, Vandewalle, Dhuicq, Dupont,Pinte, Saint-Léger, Taugourdeau, Door, Marlin, Difenbacher, Fasquelle, Terrot Envoyer aussi de nombreux mails "comme vous le sentez et avec votre cœur", pour dire ce que vous pensez de l’éolien aux députés de votre département ou plus largement si vous le souhaitez : - Vous trouverez leur adresse mail ( à l'assemblée nationale mais aussi à leur permanence départementale ) sur la liste ci-dessous Vous pouvez adresser aussi une copie à l’adresse : eolien.non@gmail.com -Cordialement J.L. Butré Président de la Fédération Environnement Durable (FED) http://environnementdurable.net Art. 34
Assemblée nationale 27 avril 2010
POUR L'ENVIRONNEMENT
Amendement Présenté par Mesdames de La Raudière, Grosskost, Marland-Militello, Colot, Louis-Carabin, et Messieurs Deniaud, Tardy, Trassy-Paillogues, Gatignol, Caillaud, Vandewalle, Dhuicq, Dupont,Pinte, Saint-Léger, Taugourdeau, Door, Marlin, Difenbacher, Fasquelle, Terrot ----- article 34
Au 6ème alinéa du III du 4° de l'article 34 : Supprimer les mots « de 500 mètres » Remplacer par les mots « minimale proportionnelle à dix fois la hauteur de la plus haute installation, »
Exposé sommaire
Le présent amendement vise à introduire un élément de proportionnalité entre la taille de l'installation éolienne et son implantation par rapport aux habitations. Il se justifie non seulement par le manque de connaissances quant à l'impact des éoliennes sur la santé des riverains, et par des raisons de sécurité en cas de chute des pales. Maintenant que les éoliennes sont supérieures à 150 mètres, voire atteignent 200 mètres, multiplier la distance éolienne-habitation par un ratio de 10 fois la hauteur du système (du pied jusqu'au pales), permettrait aux riverains d'être moins impactés par le bruit engendré par ces installations, mais également de ne pas subir d'autres phénomènes certains dans leurs effets, bien que mal évalués aujourd'hui : vibrations, ondes, mouvements, flashes, qui altérent gravement la santé (insomnies, nausées, maux de tête, et probablement d'autres effets qui commencent seulement d'être recensés et étudiés).
Ce ratio n'est pas exagéré. Il correspond à un constat balistique en cas de chute des pales. Les Etats Unis ont prévu une distance minimale de 3 km, le Canada applique une règle de 2 km, et ce, dans des espaces généralement peu ou pas habités. Ainsi, pour une éolienne de 200 mètres, une distance de 2 000 mètres devrait être respectée. Pour une éolienne de 50 mètres, une distance minimum de 500 mètres s'impose.
GRENELLE
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ LA REPONSE rue89 30.04.2010 http://www.rue89.com/planete89/2010/04/30/fervent-adepte-des-energies-renouvelables-je-suis-devenu-anti-eolien-149575 Fan des énergies renouvelables, je suis devenu anti-éolienPar anti eole | avatar | 30/04/2010 | 14H02 Il s'adresse à tous ceux « qui n'osent se défendre de peur de passer pour des emmerdeurs ». Le témoignage de ce militant anti-éolien en réaction à notre enquête sur les mots que souffle le lobby anti-éolien à ses sympathisants raconte comment cet écolo de cœur en est venu à créer le Collectif Allier Citoyen, qui s'oppose aux projets d'éoliennes. Il n'est pas nécessaire d'être pronucléaire, retraité, avoir une résidence secondaire et plein d'argent pour ne pas vouloir subir des éoliennes industrielles de 150 mètres de haut. J'habite avec ma femme et mes filles dans un petit village de l'Allier. Tout le monde dit que cet endroit est préservé : la nature est encore visible à perte de vue. C'est ce que nous sommes venus chercher, le calme, la tranquillité. Loin des villes, de la pollution. Ce choix a un prix : peu de travail en milieu rural, des kilomètres pour voir un médecin, acheter à manger, emmener nos enfants à l'école, voir nos amis. Peu de loisirs : pas de théâtre, de musée, les cinémas sont à 35 kilomètres… en bref, bien pour les vacances mais un vrai choix de vie. Nous l'assumons, sans nous plaindre.
J'ai travaillé dans les énergies renouvelables pendant une vingtaine d'années. J'ai commencé par installer mon premier chauffage solaire chez un client, depuis, j'ai fait la promotion et l'installation de chaudière bois, pompe à chaleur, solaire photovoltaïque, poêle à bois avec bouilleur, appareil de traitement de l'eau « naturel ». Actuellement, je travaille dans un centre de traitement des déchets qui utilise des filières « propres », par conviction. En janvier 2009, quand j'apprends qu'ils vont installer des éoliennes industrielles en face de notre maison, ma première réaction est de penser « c'est une bonne chose, ça participe à la protection de la planète ». Puis un voisin me dit de consulter le site de la Fédération environnement durable (FED), et là, je ne décroche plus, je me mets à me poser plein de questions. Je découvre combien la filière éolienne est opaque Dès le lendemain, je passe plusieurs coups de téléphone à des contacts professionnels dans le milieu des énergies renouvelables, et je me rend compte, très vite, que les avis sont partagés. Plus je demande des informations, plus je découvre combien cette industrie est très opaque. A les croire, tout est beau, sans nuisances pour l'homme. Que du bonheur, de la joie dans les villages, beaucoup d'argent pour fonctionner. Certains me disent que l'éolien est un bon moyen pour sortir progressivement du nucléaire, que cela permettra de limiter l'utilisation des centrale thermiques. D'autre me tiennent un discours différent sur l'éolien industriel : une énergie intermittente, qui nécessite une relève que seul les centrales thermiques peuvent fournir, question de rapidité d'intervention une éolienne industrielle produit des infrasons, mauvais pour la santé humaine le bruit engendre des gênes et des gens en souffrent le coût supporté par les citoyens est énorme car le système est subventionné par une loi, qui oblige EDF à racheter l'électricité très cher.
Je décide de visiter des parcs pour me forger ma propre opinion, durant une semaine je parcours l'Aveyron, la Haute-Loire, je descend dans le Sud. Pour tout vous dire, durant cette semaine, je suis parcouru par un sentiment que je ne connaissais pas : mon côté « écolo », me pousse à dire que c'est nécessaire ma perception de ce qui m'entoure, cette impression de voir toujours les mêmes paysages A mon retour, je contacte plusieurs personnes sur le département qui ont commencé avant moi à s'intéresser à l'éolien. Ils ont tous de bonne raisons de ne pas vouloir de cette industrie aux portes de leurs maisons : le bruit
la perte de valeur de leur maison (tout le travail d'une vie) le coût pour les consommateurs les dangers de proximité, la façon de faire des promoteurs l'impact sur la santé le changement radical de leur environnement le fait de leur imposer « ça », sans tenir compte de leur avis le refus de nos élus d'évoquer les raisons de leur choix Sur ce dernier point, quand je dis « évoquer », je suis gentil : je devrais plutôt dire la peur de dire que leur seule motivation, c'est l'argent.
Je décide de créer un collectif dans le département de l'Allier, l'idée est de regrouper toutes les associations qui existent déjà. Mes amis me disent que c'est impossible, ils avaient presque raison, mais pour tout vous dire, je suis né sous le signe du morpion dans l'horoscope chinois. Tans pis pour ceux qui ne veulent pas nous rejoindre, j'ai pris mon bâton de pèlerin et j'ai battu la campagne. J'ai rencontré des gens formidables, de tous horizons, de tous les milieux, de toutes les conditions, de toutes tendances politiques. Ensemble, nous avons constitué le Collectif Allier Citoyen, il est constitué de 38 associations sur le seul département de l'Allier, encore deux associations et nous pourrons déposer le logo que nous avons imaginé au début : le CAC 40, un clin d'oeil. Nous avons voulu faire passer nos idées, simples, avec des revendications simples, se qui nous gêne, la proximité, le bruit, la destruction de nos environnements, l'ouverture d'un vrai débat sur la nature même des choix énergétique de notre pays. Nous avons demandé simplement que les parcs éoliens soit à 1 500 mètres de nos habitations, dans des zones prévues pour des machines industrielles. La réponse est tombée comme une insulte : « Si nous ne pouvons pas les installer à 1 500 m des habitations, nous ne pourrons pas en mettre du tout. » Les gens qui se défendent sont fatigués Nous avons démontré que notre département n'est pas assez venté pour que cela soit rentable. Il n'y a pas d'ancien moulin à vent dans la plupart des zones où ils veulent faire des parcs, l'Ademe confirme que l'Allier est un des département le moins venté de France. Depuis, nous avons obtenu le retrait de plusieurs parcs, mais malheureusement, la politique s'en mêle. Il faut de l'argent : le pouvoir central ne fait pas son boulot, beaucoup de nos élus sont de piètres gestionnaires, et surtout pas des visionnaires, peut-être là depuis trop longtemps. Aujourd'hui, les gens qui se défendent sont fatigués, considérés comme des bêtes pestiférées. Dans nos villages, les rapports sont pourris : ceux qui sont pour les éoliennes touchent de l'argent, pour la plupart, ceux qui sont contre vont perdre de l'argent, pour la plupart. Nous avons fait faire des estimations de nos maisons avec des parcs à côté : leur valeur perdra de 20% à 40% (je tiens les documents à disposition). Qui voudra acheter une maison dans la campagne avec des éoliennes autour ? Pas moi.
« Nous ne sommes toujours que quelques-uns à résister, et à payer des frais d'avocat pour empêcher ce projet. Nous n'avons pas gagné totalement mais nous sommes encouragés par les derniers jugements pour des affaires similaires au niveau national, et confortés par un rapport sur l'éolien qui sera présenté à l'Assemblée nationale du 4 au 7 mai : il recommande, entre autres, l'interdiction de la construction d'éoliennes à moins de 500 m des habitations et le mitage des installations », indique l'un des plaignants. Gérant de Ventis, Pierre Mat se dit, lui, conforté par la décision du tribunal administratif de Caen en première instance, qui avait confirmé la décision du préfet autorisant le permis de construire des six éoliennes à Gorges. « Nous gardons espoir. En attendant le résultat du contentieux, nous effectuons un travail préparatoire, d'études notamment. Nous sommes dans le timing avec le fabricant d'éoliennes pour une construction en 2011. »
Résurgence du projet 2004. « En 2004 nous avions remporté la victoire haut la main après avoir été reçus au ministère à Paris. Mais malheureusement les promoteurs éoliens sont persévérants. La société Eoleres est revenue à la charge pour un projet de 100 mégawatts dans le même secteur » indique Raymond Davodet. Le projet a quelque peu évolué : « Maintenant il s'agit de 28 éoliennes (4 rangées de 7 éoliennes), situées à 13,8 km de Jersey, à 13,7 km du phare de Carteret, et à 7,3 km du littoral le plus proche (Sud de Portbail), en limite de la ligne de démarcation des eaux anglaises et françaises, séparées les unes des autres de 1 200 m dans un sens et de 840 m dans l'autre. Compte tenu de la zone de réserve périphérique, cela approcherait les 50 km2 ». Des études pipées. « La plupart des bureaux d'études auxquels il est fait appel sont créés par les promoteurs éoliens » affirme Raymond Davodet. « En plusieurs mois d'observation, ils disent n'avoir aperçu que 4 dauphins devant Saint-Germain-sur-Ay. Or, j'y suis allé encore récemment et sur un simple passage j'en ai vu cinq ou six » insiste le président. « Selon le promoteur, les éoliennes ne gêneront pas la vue vers Jersey car l'île est rarement visible du continent » ricanent amèrement les intervenants, soulignant « un manque de connaissance évident de la région ». Les démarches menées. Jean-Paul Gosselin, président de la 3CI, rappelle qu'il a transmis un courrier de sensibilisation à toutes les communes de la côte Ouest du département, soit « 14 communautés de communes et 72 communes ». Les élus et une délégation d'opposants espèrent un entretien avec le préfet maritime avant l'été, puis avec le préfet de la Manche. Les dernières informations. Dieudonné Renaux, conseiller général, se veut très prudent et parle au conditionnel. « Mais selon de hauts responsables, il semblerait que la côte Ouest du Cotentin ne verrait pas d'éoliennes offshore... Je reste cependant très méfiant » dit-il. +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ BRETAGNE 35 ILLE-ET-VILAINE 35380 Treffendel ouest-france 28.04.2010 http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Desaccords-autour-du-projet-eolien-dans-la-commune-_35187-avd-20100428-58120390_actuLocale.Htm Ouest-France / Bretagne / Rennes / Monterfil / Archives du mercredi 28-04-2010 Désaccords autour du projet éolien dans la commune - Treffendelmercredi 28 avril 2010 
Reportage « On n'impose pas à une population quelque chose qu'elle ne veut pas ! Ce projet nous place devant le fait accompli ! » Un vent de contestation a soufflé, lundi soir, dans la salle communale où s'est tenue « une réunion d'information contradictoire » provoquée par la mairie et appelée de tous ses voeux par l'association Du Vent. Un peu plus de cent personnes, de Treffendel mais aussi de Plélan-le-Grand, sont venues entendre les explications des élus et celles des opérateurs du projet d'implantation de cinq éoliennes sur la commune. Depuis 2004 Depuis 2004, Éole Génération, filiale de GDF Suez, et Aérowatt travaillent au développement d'un parc éolien, à proximité de l'axe Rennes-Vannes, juste avant le parc éolien de Plélan-le-Grand que quelques riverains ont dénoncé, lundi soir, notamment pour les nuisances sonores qu'il provoque. Mais aussi ses dangers pour la santé, notamment mentale (l'effet stroboscopique a été évoqué). À Treffendel, lundi soir, il a été question, d'une part, du choix de la Zone de développement éolien (ZDE) et du permis de construire qui n'est pas attribué pour l'instant. « Il ne pourra l'être qu'au terme de l'enquête publique qui est en cours », a précisé Anne-Françoise Courteille, maire de Treffendel. Cette dernière a eu fort à faire avec ses administrés, au cours de cette réunion. Une grande majorité d'entre eux n'ont pas apprécié, en effet, la « leçon » que leur ont infligée les techniciens des deux sociétés. Tout comme ils ont fait grief aux élus (Loïc Aubin, président de la communauté de communes, Jacques Guillemot, maire de Maxent et vice-président de la communauté, chargé du développement éolien, et Laurent Peyrègne, président du Scot du pays de Brocéliande et maire de Plélan-le-Grand) de ne pas répondre suffisamment à leurs questions. Quel intérêt ? « Nous aimerions connaître la finalité de ce projet. Quel en est l'intérêt pour la commune, notamment financier », interroge une Treffendelloise. Après avoir souligné l'importance qu'il y a à contribuer à la construction d'outils de production d'énergie renouvelable destinée à contrer le risque régional de rupture en approvisionnement, Anne-Françoise Courteille évoque l'intérêt financier : « De l'ordre de 40 000 à 50 000 € pour la taxe foncière. Il y aurait également 120 000 € à partager avec la Région et le Département. En tout état de cause, ce n'est pas un pactole que Treffendel va toucher. » Forts du vécu de plusieurs riverains plélanais, des habitants de Treffendel ont soulevé l'épineuse question de la dévalorisation foncière de leurs biens : « Comment réussirons-nous à revendre nos maisons ? Nos pertes seront énormes. » Un outil utile à la réflexion Des chiffres, difficilement vérifiables, ont été lâchés. Mais, moins que ces estimations, ce sont bien l'émotion et l'inquiétude qui dominent dans la commune où une seule voix, celle d'un riverain, s'est élevée pour dire son accord avec le projet. Un projet qui fait toujours l'objet d'études et d'une enquête publique portant sur le permis de construire. « Le conseil municipal sera amené à se prononcer dans le cadre de cette enquête publique, indique Anne-Françoise Courteille. La réunion de ce soir sera un outil utile à notre réflexion, bien sûr. » Reste qu'au terme de près de trois heures d'échanges, dans un climat parfois tendu, la question de la contribution de la commune à l'effort régional, en matière de production d'énergie renouvelable, demeure entièrement posée. Édouard MARET. +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ LANGUEDOC-ROUSSILLON languedoc-roussillon.developpement-durable.gouv.fr avrl.2010 http://www.languedoc-roussillon.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/ZDE_en_instruction_avril_2010_cle042e91.pdf AVRIL 2010 REGARDER LA DERNIERE COLONNE concernant la RECEVABILITE des demandes 
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ PICARDIE 02 AISNE 02210 Oulchy-le-Château lunion 30.04.2010 http://www.lunion.presse.fr/article/economie-region/un-recours-contre-larrete-du-prefet-creant-une-zde-a-oulchy-eoliennes-vent-c et http://www.lunion.presse.fr/article/politique/eoliennes-vent-contraire Un recours contre l'arrêté du préfet créant une ZDE à Oulchy Éoliennes : vent contraire Publié le vendredi 30 avril 2010 à 13H00 
Les opposants aux éoliennes mettent surtout en avant l'impact sur le patrimoine. S'IL n'en reste qu'une, pour lui, ça ne sera pas celle-là. Après avoir enregistré avec satisfaction que le préfet avait, il y a quelques semaines, refusé la création d'une zone de développement éolien (ZDE) sur les trois secteurs proposés par la communauté de communes du Pays de la Vallée de l'Aisne (l'union du 18 mars), le président de l'Appov*, Benoît Verdun, n'en restait pas moins mobilisé, avec ses troupes, sur un autre dossier : celui de la ZDE présentée par la communauté de communes du canton d'Oulchy-le-Château. « Éléments sous-estimés ou ignorés » Le préfet avait, en février, validé un seul des six secteurs envisagés, celui de Parcy-Tigny et Vierzy. Pour l'Appov, c'est une de trop. L'association vient donc de présenter un recours gracieux auprès du préfet contre cet arrêté, Benoît Verdun jugeant qu'il a été pris « malgré les nombreux courriers de particuliers et d'associations du secteur qui argumentaient contre le projet et en dépit de l'avis défavorable de plusieurs conseils municipaux limitrophes. » Les signataires du recours considèrent que « des éléments ont été sous-estimés ou ignorés » par les services de l'État. Pour les opposants, cette zone est surtout « hypersensible d'un point de vue patrimonial. » En ce qui concerne, le patrimoine naturel, ils estiment que « la covisibilité sera totale, à l'est avec les collines du Tardenois et la vallée de la Crise et, à l'ouest, avec le massif de Retz et les vallées adjacentes qui forment son écrin ». Au plan du patrimoine historique et architectural, les anti-éoliens soulignent que de très nombreux monuments classés, inscrits ou remarquables figurent dans le périmètre concerné (Septmonts, Droizy, Berzy le Sec, Villers-Hélon, Butte-Chalmont…). « Des machines monstrueuses » Pour Benoît Verdun, « Tous ces monuments et sites classés ou inscrits et ces importants lieux de mémoire seront en covisibilité avec des machines qui en dégraderont monstrueusement la vue […] La présence ou la simple menace d'éoliennes coupera net un développement touristique déjà bien engagé et très prometteur. » D'un point de vue humain, la création d'une ZDE pose des « problèmes gravissimes » et « affectera les populations riveraines et leurs conditions de vie au quotidien. Les nuisances toucheront très directement les populations de Villemontoire, l'Echelle, Charentigny, Parcy et Tigny, Taux, Moremboeuf, Vierzy, Buzancy. » Le message adressé au préfet est, sur ce terrain-là, sans ambiguïté : « Très mobilisées contre l'installation d'éoliennes, ces populations pèseront de tout leur poids pour s'opposer à une demande de permis de construire, si elle venait à être présentée. Dès maintenant, elles sont prêtes à faire entendre leur refus du stress, des insomnies et dépressions et de la dévalorisation de leur patrimoine immobilier. » Philippe ROBIN * Appov : Association de protection et de promotion des paysages des environs d'Oulchy-le-Château et Villers-Cotterêts +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++   Download 0,72 Mb. Do'stlaringiz bilan baham:
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