International congress of byzantine studies belgrade, 22 27 august 2016

Rowena Loverance
London, United Kingdom; 
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A Theoderican Capital in Wiltshire
The acanthus capitals from the lost church of Sant’ Andrea dei Goti in Ravenna, with their 
distinctive Theoderic monograms, are among the most recognisable material remains from the 
Ostrogothic period in Ravenna. When the Venetians destroyed the church in 1457, six of the capitals 
were prominently displayed in the newly-created Piazza del Popolo. The original number is unknown: 
the later church of Santo Spirito, which may have had the same proportions, has a nave arcade of 
fourteen columns. Four more of the Sant’Andrea capitals are now in the National Museum of Ravenna. 
And one forms the centrepiece of an English country garden, at Ifold Manor in Wiltshire. 
The story of the capital’s acquisition in 1903-5 by landscape architect and collector, Harold 
Peto, and its recognition in 1913 by art historian Martin Conway, offers an interesting example of 
the revival of interest in Byzantine antiquities in northern Italy and in England at the turn of the 
nineteenth and twentieth centuries.

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Etele Kiss
Hungarian National Museum, Budapest, Hungary;
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Les débuts de la peinture monumentale en Hongrie : 
Constantinople – Kiev – Visegrád
Dans les années 1978-79, les parties basses d’une église furent retrouvées près de la forteresse 
romaine à Visegrád, dans le coude du Danube, en Hongrie. La seconde phase de cette église, 
nommée erronément „église de l’archidiaconat” était recouverte de fresques de haute qualité, dont la 
majorité était tombée et retrouvée en dizaines de milliers de morceaux, tandis qu’à la base, quelques 
dessins géometriques avec des figures (de combats) d’animaux ont été retrouvés in situ. Jusqu’ici, 
la chronologie et même le style des ces fresques antiquisants restait obscure. La stratigraphie des 
fouilles montre pourtant que cette église ne servait qu’à une ou deux générations entre le milieu 
de 11ème siècle et le début du suivant. En outre d’un tombeau de fondateur réinstallé au milieu 
de l’église, on a notamment retrouvé le tombeau intact d’un hermite avec un cilice en fer, et aussi 
celui d’un prêtre avec calice et patène. Les nouvelles recherches en cours des fresques ont révélé 
des inscriptions byzantines avec des caractères grecques, permettant aussi de conclure à un cycle 
de l’enfance de la Vierge. Tout amène à supposer que l’église était reédifiée sous le règne d’André I 
(1046-61) et de sa femme, Anastasie de Kiev pour des buts spéciaux, ensemble avec le monastère 
orthodoxe dédié à St André fondé par eux, situé à quelques kilomètres de là. Les fresques de l’église, 
comme probablement ceux du monastère, disparus pourtant à quelques traces près, étaient dûs 
vraisemblablement à des peintres byzantins amenés de Kiev. Cette communication veut présenter 
les résultats provisoires de ces recherches, et essaiera de situer les fresques parmi les productions des 
peintres métropolitains byzantins du milieu du 11ème siècle. La présence éventuelle de bénédictins 
slavons, exilés de Sázava (en Bohême) à cette époque, rend possible un rôle d’intermédiaire pour 
Visegrád entre les orthodoxes slaves et ceux de tradition latine.