Dans cet extrait on peut trouver beaucoup de faits lexicaux. Par exemple, on peut analyser les procédés de création de mots lexicaux qui s’y trouvent. Pour créer des mots nouveaux, le français dispose de trois procédés. Ce sont la suffixation, la préfixation et la composition. L’auteur emploie ici plusieurs fois des mots qui sont formés par la suffixation, ce sont existence, téléphoniques, régulièrement, jouant, imaginaire, satisfaction, radicalement, patisserie. Ici on peut classer les procédures de suffixation d’après la catégorie du mot. Parce
que la suffixation s’accompagne généralement d’un changement de catégorie du mot (par la préfixation, la catégorie du mot ne se change pas). Les mots existence, satisfaction et patisserie sont les nominalisations verbales. Parce qu’ils se forment à la base des verbes exister, satisfaire et patisser. Les mots régulièrement et radicalement sont les adverbialisations adjectivales. Parce qu’ils se forment à la base des adjectifs régulière et radicale. Les mots téléphoniques et imaginaire sont les adjectvisations verbales. Parce qu’ils se forment à la base des verbes téléphoner et imaginer.
D’après la préfixation aussi l’auteur emploie ici quelques mots, ce sont subjuguer, remplir, renvoyer, rassembler, s’inverser. Dans le mot subjuguer la préfixation sub – se sert à indiquer le sens indépendant, la préfixation r – dans les mots remplir, renvoyer, rassembler se sert à indiquer le sens expressif, la préfixation in – dans le mot s’inverser se sert à indiquer le sens négatif.
Ici il y a un seul mot composé - la grand-mère. C’est un mot composé à la base nominale, parce qu’il se forme à la base d’un adjectif. Outre cela, dans cet extrait il y a encore un mot composé qui est emprunté de l’anglais, c’est le week-end.
Dans cet extrait l’auteur emploie deux fois la substantivation. Ce sont la dernière et le déjeuner. Le mot la dernière est la substantivation de l’adjectif, le mot le déjeuner est la substantivation de l’infinitif.
Outre cela, on peut trouver ici les synonymes textuels. Ce sont Mon père, papa, il ; Nous, moi et mes amis. Il ne sont que synonymes dans le texte. C’est pourquoi, ces mots se nomment « les synonymes textuels ».
Dans ce texte on peut trouver encore les vrais synonymes, ce sont mes amis, mes camarades, mes copains et le père, papa. Dans ce texte il existent aussi les antonymes. Ce sont :
petit – grand (les antonymes adjectivals) ;
mon père – ma mère (les antonymes nominals) ;
sa – son ; ma – mon (les antonymes adjectivals non qualificatifs) ; répondre – poser des questions (les antonymes verbals).
Dans le français on peut distinguer les antonymes en deux groupes : les antonymes logiques et les antonymes morphologiques. Les antonymes donnés sont les antonymes logiques, mais les antonymes morphologiques il n’ existent pas dans cet extrait.
L’auteur emploie ici beaucoup d’expressions, ce sont conduire son existence ; transformer en fete ; tirer quelques coups de feu ; penser avec satisfaction ; le petit déjeuner ; faire un surprise ; passere pour la grand-mère ; passer le week-end ; se diriger vers Ici il y a
une seule expression nominale, c’est le petit déjeuner ; et les autres sont les expressions verbales.
Dans cet extrait il y a quelques mots que nous pouvons citer la famille du mot. Par exemple, l’ami, associer et passer.
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