Thème : Base de la chimie Theorie atomique

G’afforov Abbosjon 3g-18 ee

Thème : Base de la chimie
Theorie atomique
La theorie atomique joue actuellement en chimie comme en physique, un role de
premier plan. Trois hypotheses furent a la base de cette theorie.
1.Hypothese moleculaire. La matiere est formee de particules extremement
petites, appelees molecules, separees par des espace vides. Toutes les molecules
d’un meme corps pur sont identiques, mais a deux corps differents correspondent
des molecules dissemblables. Les molecules d’un corps quelconque sont animees
d’un mouvement incessant, dont la vitesse croit en meme temps que la
temperature.
2. Hypothese atomique. Une molecule d’eau contient evidemment de l’oxygene
et de l’hydrogene ; il existe donc des particules plus petites que les molecules,
que l’on nomme atomes.
De meme que la molecule est la plus petite partie d’une espece chimique qui
puisse exister a l’etat libre, l’atome est la plus petite partie d’un element qui
puisse exister a l’etat de combinaison. Tous les atomes d’un meme element sont
identiques, mais a deux elements differents correspondent des atomes differents.
Une molecule est un assemblage d’atomes : par exemple, une molecule d’eau
contient deux atomes d’hydrogene et un atomes d’oxygene. La molecule d’un
corps simple peut aussi etre formee par un ou plusieurs atomes. Ainsi, la molecule
d’argon ne renferme qu’un atome, alors que celle d’hydrogene en contient deux,
celle d’ozone trois, celle de ls vapeur de phosphore quatre, etc. Ce nombre
d’atomes que contient la molecule est appele l’atomicite du corps simple.
Au cours des reactions chimiques, les atomes s’echangent entre les molecules
venues en contact, pour donner naissance a des molecules nouvelles, mais
l’individualite de chaque atome ne change pas, ce qui permet d’expliquer la loi
de conservation des elements et la loi de conservation de la masse. Cette theorie
permet egalement d’interpreter les phenomenes d’allotropie et d’isometri.
3. Hypothese d’Avogadro. Des volumes egaux de gaz, mezures a une meme
temperature et sous une meme pression, renferment le meme nombre de
molecules. Enoncee en 1819 par le chimiste italien Avagadro, cette hypothese fut
defendue par Ampere, dont elle porte aussi le nom.