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Chrétiens d'Orient, ombres et lumières



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Chrétiens d'Orient, ombres et lumières, de Pascal Maguesyan, est constitué de reportages brefs et intenses, très dialogués, dont les plus anciens remontent à l'an 2000. Il nous emmène à travers dix pays, de l'Egypte à l'Iran, en passant par Israël et les Territoires palestiniens, la Syrie, la Turquie... Un fil d'Ariane : des destinées d'Arméniens. Mais aussi des dizaines d'autres personnages. A commencer par ce bébé né à Bethléem en avril 2011, dont l'auteur et son photographe ont suivi la venue au monde.

Charnier de pierres

Pascal Maguesyan n'est pas un adepte de la distanciation, voire du cynisme, qu'affectent la plupart des reporters dans les zones de conflit. Il ne craint pas de parler avec empathie de ceux qu'il rencontre, bousculés ou écrasés par les soubresauts historiques de cette terre : « L'Orient est un volcan. Ses éruptions sont imprévisibles, incontrôlables, sublimes et terrifiantes », écrit-il. Son regard bienveillant lui permet de voir ce que les analystes politiques oublient de voir. « Qu'est-ce qu'être juif ? » demande-t-il à Irena Seinfeldt, directrice du département des Justes au mémorial de Yad Vashem. « C'est penser qu'à tout moment tout peut disparaître ». Israël , malgré sa redoutable armée, n'est au fond qu'« un petit pays apeuré ». A Van, dans ce qui fut l'Arménie occidentale, le reporter découvre les « charniers de pierres », tout ce qui reste d'une civilisation anéantie. Dont les descendants, pourtant, sont présents et bien vivants partout dans l'Orient, et au-delà.

Les pages sur la Syrie, écrites juste avant le déclenchement de l'actuelle guerre civile, pourraient paraître dépassées. Elles sont les plus poignantes peut-être, car elles permettent de découvrir ce qui est désormais irrémédiablement perdu : une mosaïque belle mais précaire de groupes humains de traditions et de religions différentes, intimement imbriquées.

Découvrir le christianisme d'Ethiopie

A la rencontre des Eglises premières, de Jacques Debs, commence à Beyrouth, sa ville, lorsque qu'éclate la guerre, le 13 avril 1975. Il s'achève à Calcutta trois décennies plus tard. Quatre pays - Liban, Arménie, Ethiopie, Inde — sont évoqués à travers leurs Eglises chrétiennes sur lesquelles Jacques Debs réalise une série de films documentaires. Les paysages tiennent une grande place dans ce récit d'un cinéaste qui est moins reporter peut-être qu'écrivain voyageur.

Rien de plus dépaysant par exemple que de suivre l'auteur dans son périple en Ethiopie, cet immense pays d'une intense beauté où le christianisme ancestral reste intimement lié aux origines juives de la religion.Mais même là-bas, même à proximité de Lalibala, la ville aux églises rupestres, l'auteur a constaté une montée des comportements salafistes dans les villages ou quartiers musulmans...

Les deux livres se recoupent finalement assez peu. Ils sont complémentaires. Ce qu'ils ont de commun c'est l'amour pour cet Orient dont les auteurs partagent les traumatismes historiques et l'infinie résilience.

http://www.fait-religieux.com/culture/livres/2013/11/30/voyages-intimes-dans-l-orient-chretien

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=77376

Et les chrétiens du Liban ?

L'Orient Le Jour

Nagib AOUN
09/12/2013

Que l'islam soit en crise, qu'il traverse aujourd'hui la période la plus sombre de son existence, plus personne ne songerait à le nier. La situation est d'autant plus dangereuse qu'elle englobe inévitablement les États de la région et se traduit par des conflits aigus entre régimes d'obédiences communautaires opposées. Avec, en toile de fond, une hydre jihadiste tentaculaire qui menace autant les sunnites que les chiites.

La tragédie syrienne a constitué, en quelque sorte, une boîte de Pandore révélatrice : de ses tréfonds ont surgi tous les malentendus, toutes les haines accumulées au fil des siècles, une explosion dont les éclats ne pouvaient qu'atteindre le Liban à l'équilibre confessionnel fragile.

C'est là précisément notre propos : l'implication du Hezbollah chiite dans la guerre syrienne aux côtés des forces du régime et l'appui fourni par les courants sunnites à la rébellion ont révélé la profondeur des divergences qui meurtrissent l'islam libanais et l'importance des allégeances à l'Iran et à l'Arabie saoudite qui en découlent.

Une fracture qui met à mal le projet de société issu du pacte national qui a forgé l'indépendance du Liban et dont les chrétiens ont été les initiateurs, les grands défenseurs. Non au chant des sirènes occidentales, non au chant des sirènes arabes, tous unis dans une même entité, le Liban : voilà la formule sur laquelle s'étaient entendus chrétiens et musulmans en 1943 et qui était supposée préserver le pays du Cèdre des influences et pressions externes. Où en sommes-nous 70 ans plus tard ? Une société pulvérisée, des communautés qui s'épient en chiens de faïence et une implication suicidaire dans la guerre syrienne où chiites et sunnites enterrent les derniers rêves d'un islam tolérant et ouvert sur le monde.

Il y a quelques décennies, le maronitisme politique était accusé de tous les maux, soupçonné de nourrir de noirs desseins. Les années se sont écoulées, les crises ont succédé aux crises et qu'ont offert, entre-temps, le sunnisme et le chiisme politiques? Des divisions supplémentaires, une exacerbation du communautarisme, l'assujettissement à des agendas étrangers et la neutralisation de l'État par un parti qui s'est arrogé le droit de décider de la guerre ou de la paix et qui s'est fourvoyé dans la guerre civile syrienne. Conséquence naturelle : les jihadistes prennent tout le monde en otages, sunnites et chiites réunis, et, dans la foulée, se déchaînent contre les chrétiens, spectateurs et victimes d'un conflit et de haines qui les dépassent.

Le naufrage est tel qu'au sein même des communautés musulmanes des voix commencent à s'élever pour insister sur le rôle fondamental des chrétiens du Liban, garants d'une formule fondatrice seule susceptible de protéger le pays de la barbarie qui le talonne.

Pas de Liban possible sans les chrétiens, entend-on ainsi dire dans des milieux autant sunnites que chiites effrayés par l'ampleur du désastre. Mais les chrétiens, eux, englués dans leurs propres divisions, sont-ils encore à même d'en tirer les conclusions à quelques mois de l'échéance présidentielle ?



http://www.lorientlejour.com/article/846087/et-les-chretiens-du-liban-.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=77377

La Rencontre des chrétiens du Machrek appelle à la libération des otages en Syrie

L'Orient Le Jour

07/12/2013

La Rencontre des chrétiens du Machrek a appelé les autorités concernées et les pays influents à déployer les efforts nécessaires pour libérer les otages chrétiens détenus en Syrie.

Dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion hebdomadaire, la Rencontre a vivement condamné les atteintes perpétrées par des groupes armés contre les chrétiens dans plusieurs pays du Machrek, rappelant dans ce cadre le kidnapping récent des religieuses orthodoxes du couvent Sainte-Takla à Maaloula, ainsi que le rapt des évêques Boulos Yazigi et Youhanna Ibrahim.

« La Rencontre des chrétiens du Machrek condamne vivement le kidnapping de personnes pacifiques auxquelles le droit international humanitaire reconnaît le droit à une protection spéciale et estime que leur rapt équivaut à un crime de guerre », a affirmé le conseil. Il a appelé les autorités concernées et les pays influents à « déployer les efforts nécessaires pour libérer les otages et œuvrer pour que les déplacés retournent chez eux ». La Rencontre des chrétiens du Machrek a enfin invité les instances islamiques dans le monde à « dénoncer » ces agissements et à renforcer la coexistence entre les peuples du Machrek.




http://www.lorientlejour.com/article/845912/la-rencontre-des-chretiensdu-machrek-appelle-a-la-liberation-des-otages-en-syrie.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=77366

RUBRIQUE EN ANGLAIS

Turkey Joins UN Cultural Committee: Wolf in Charge of Guarding Sheep

 

By Harut Sassounian



Publisher, The California Courier

 

Earlier this year, I wrote a column describing the Turkish government’s bullying tactics to reclaim antique objects from European and American museums. It is ironic that Turkey, one of the greatest looters and pilferers of other nations’ cultural heritage, would so aggressively demand the return of these antiquities.



 

Just in case its threats fail to work, Turkey embarked on a new course of action last month -- bribery! Turkish Education Minister Nabi Avci announced on November 10: “Turkey has doubled its contribution to the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) amid the financial crisis it faces with the United States and Israel not paying their membership fees.”

 

Minister Avci did not even attempt to hide the real reason for Turkey’s generosity. He disclosed that “significant progress has been made in Turkey’s candidacy for the UNESCO World Heritage Committee elections to be held on November 19.” Indeed, the Turkish Minister’s prediction came true when his country was elected to the 21-member World Heritage Committee for the next four years.



 

The Turkish Foreign Ministry immediately announced that as a member of that Committee, “Turkey intends to share, at the international scale, the experience and knowledge it has accumulated in managing and protecting its own 11 world heritage areas representing different layers of Anatolian civilization, including Neolithic, Hellenistic, Roman, Byzantine, Seljuk and Ottoman periods.”

 

Electing Turkey to a body that is supposed to preserve cultural assets is akin to putting a wolf in charge of guarding sheep. Turkey should not be eligible to serve on the UNESCO committee or on any other UN agency because of its long record as a major violator of human rights and the hegemonic threat it presents to the peace and security of neighboring states.



 

Not surprisingly, the Foreign Ministry’s announcement made no mention of the numerous Armenian religious and cultural monuments in present-day Turkey. Only in recent years, with the intent of easing the way for its European Union candidacy as well as generating income from foreign tourists, the Turkish government has renovated a handful of Armenian and Greek churches, after decades of neglect and systematic desecration and destruction.

 

Now that Turkey has undeservedly become a member of the World Heritage Committee, Armenia’s UNESCO representative has the opportunity during each meeting for the next four years to point out the irony Turkey faces -- tasked with preserving cultural monuments, while remaining one of the biggest confiscators of other nations’ cultural heritage.



 

Murat Suslu, Turkey’s director-general of cultural heritage and museums, told the New York Times with a straight face: “We only want back what is rightfully ours…. If you come to my house and you steal precious objects from me, do I not have the right to get them back?” Mr. Suslu, who insisted that thievery and looting are wrong no matter when they occurred, must be reminded that Turkey can make such claims only after returning to Alevis, Arabs, Armenians, Assyrians, Cypriots, Greeks, and Kurds, what is rightfully theirs!

 

Just as ironic was the statement made by Ertugrul Gunay, Turkey’s Culture Minister, to the Economist magazine: “I wholeheartedly believe that each and every antiquity in any part of the world should eventually go back to its homeland. Even if these objects are made of stone, just as people have souls, so do animals, plants and monuments. Taking a monument away destabilizes the world and is disrespectful to history.”



 

Instead of falsely presenting their country as a looting victim, Turkish officials should acknowledge that they are in possession of numerous antiquities confiscated by their Ottoman predecessors while occupying over a dozen neighboring countries. For example, the sarcophagus of Alexander the Great, discovered near Sidon, Lebanon in 1887, was shipped to Istanbul’s Archaeology Museum under orders from Sultan Abdul Hamid II, where it is still kept as one of its most prized possessions. It’s now up to Lebanon to demand the return of this precious cultural treasure from Turkey! Also, Saudi Arabia has the right to reclaim a plethora of sacred Islamic relics removed from Mecca by the Ottoman authorities in the 19th century. 

Turkey’s membership in UNESCO’s World Heritage Committee provides a unique opportunity for Armenians and other dispossessed nations to draw the world’s attention to the Turkish government's illegal confiscation of their cultural heritage and demand their immediate return.
Turkish FM Davutoglu enters Armenia Marriott Hotel from back entrance

Turkish Foreign Minister Ahmet Davutoglu entered Armenia Marriott Hotel in Yerevan through the back entrance as the youth organizations of ARFD and Social Democrat Hunchakian Party are staging a protest against his visit near the hotel.  

“They should always enter and leave through the back entrance as long as Turkey does not recognize the Armenian Genocide. They fear us, they fear to face their history. Shame on Turkey!” said Gerasim Vardanyan, board chairman of the Nikol Aghbalyan Student Association.

The 29th meeting of the Council of Foreign Ministers of the Organization of Black Sea Economic Cooperation (BSEC) member states opened late as the participants were waiting for the arrival of the Turkish Foreign Minister. Davutoglu arrived accompanied by multiple guards and reporters.



http://www.panorama.am/en/politics/2013/12/12/shame-on-turkey/

    1. FACEBOOK ET TWITTER

L'actualité instantanée sur Facebook et Twitter - 1

Vous n'êtes pas un pro des réseaux sociaux ? Le Collectif VAN répertorie sur cette page les infos postées ou relayées sur Twitter et Facebook par le Collectif VAN.

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=73615

  1. DOSSIERS PERMANENTS

  2. Observatoire du Négationnisme du Collectif VAN

  3. Récapitulatif des principaux faits et articles négationnistes relevés depuis 2006.

  4. http://www.collectifvan.org/article.php?id=21105



Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie)

Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie)

La rubrique "Ephéméride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée).

"Dossier Zarakolu" mis à jour sur le site du Collectif VAN



  1. Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Retrouvez sur le site du Collectif VAN toutes les informations sur le Dossier Ragip Zarakolu, éditeur, journaliste, militant des droits de l'homme en Turquie, arrêté à Istanbul le vendredi 28 octobre 2011 avec la sociologue Busra Ersanli, inculpé comme elle le mardi 1er novembre 2011 d'«appartenance à un groupe terroriste armé» et actuellement incarcéré dans la prison de haute sécurité de Metris. La Turquie détient le record du nombre de journalistes emprisonnés : près de 60. «Aucun pour leurs écrits, tous pour des dossiers de terrorisme», se justifie Egemen Bagis, le ministre des affaires européennes ! Le Collectif VAN vous invite expressément à signer les pétitions internationales de soutien aux intellectuels turcs et kurdes détenus arbitrairement en Turquie.

    Trouvez le Dossier Ragip Zarakolu en cliquant ici

  2. http://www.collectifvan.org/article.php?r=9&id=58378



Revue de Presse des dépêches AFP

Le Collectif VAN répertorie sur cette page toutes les dépêches AFP en lien avec le génocide arménien et la Turquie.

http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=60725

    1. SITES INTERESSANTS


Visitez notre page de liens : http://www.collectifvan.org/liens.php?r=7



    1. AGENDA
      RASSEMBLEMENTS-EXPOSITIONS-CONCERTS-SPECTACLES-PARUTIONS


Agenda - Collectif VAN : APPEL AUX DONS

Agenda - Collectif VAN : un acteur référent dans la lutte contre le négationnisme - Collectif VAN - www.collectifvan.org

Depuis 2004, le Pôle Evènementiel du Collectif VAN a mis en œuvre ou suivi plus de 90 actions publiques à destination de la société civile.

En 2013, le Collectif VAN a vécu un moment historique : à l’invitation de deux ONG turques, l’IHD [Association turque des droits de l’Homme] et DurDe, il a fait partie de la délégation d’associations antiracistes européennes (SOS Racisme, UEJF), dirigée par l’EGAM et l’UGAB, qui s’est rendue pour la première fois à Istanbul (Turquie) le 24 avril pour y commémorer le génocide arménien.

Auparavant, en France, en lieu et place de la désormais célèbre “Journée de sensibilisation aux génocides et à leur négation“ qui se tient chaque mois d’avril devant Notre-Dame de Paris, le Collectif VAN avait organisé une soirée-débat-projection intitulée “Génocide arménien : un passé qui ne passe pas”, avec Maître Vincent Nioré pour modérateur. Elle s’est tenue le vendredi 5 avril au Ciné d’Issy (300 places) avec le soutien de la Mairie d’Issy-les-Moulineaux, en présence d’André Santini et de son équipe. Le programme a rencontré un vif succès : débat avec les journalistes Guillaume Perrier et Laure Marchand à l’occasion de la parution de leur livre “La Turquie et le fantôme arménien”; projection du film “Le Fils du marchand d’olives” de Mathieu Zetindjioglou, séance-dédicaces.

Le Collectif VAN avait commencé l’année 2013 en étant, pour la troisième année consécutive, partenaire des Assises contre le négationnisme mises en place à l’ESG de Paris par Frédéric Encel: le thème en était « Médias et négationnisme ». Pour la première fois, la représentante du Collectif VAN a été invitée à s’exprimer à la tribune à propos du négationnisme du génocide arménien dans les médias et sur internet. Comme à l’accoutumée, le Collectif VAN a tenu un stand d’information pour accueillir le public.

Le Collectif VAN a poursuivi en 2013 sa participation aux actions de ses partenaires, en particulier celles du Collectif Urgence Darfour, de l’EGAM (Roma Pride), de la Licra et d’Ibuka France. Par ailleurs, le Collectif VAN est régulièrement sollicité par les militants des droits de l’homme turcs et kurdes face à la répression d’Ankara et alerte les pouvoirs publics sur leur situation.

Depuis 2004, le Pôle Média du Collectif VAN diffuse gratuitement 5 jours par semaine par mail et depuis 2006 sur le site www.collectifvan.org (très bien référencé sur Google Actualités) une revue de presse [Veille-Média] nationale et internationale, avec des articles et de nombreuses traductions sur les génocides, leur négation et les spoliations.

Dans le cadre de ce Pôle Média, le Collectif VAN signale certains faits négationnistes en les listant dans un «Observatoire du négationnisme» en ligne sur son site et utilisé par diverses instances arméniennes pour sensibiliser les médias, les institutions et les cercles politiques.

Pour animer son site internet, le Collectif VAN a choisi de fournir un travail rémunéré à de jeunes webmasters francophones d’Arménie, basées à Erevan.

Les dons que reçoit le Collectif VAN contribuent ainsi à offrir un emploi stable à de jeunes Arméniennes formées aux thématiques qui nous concernent.

Tout ceci ne pourrait exister sans l’aide de nos membres, de nos généreux sympathisants et de la subvention annuelle de la Ville d’Issy-les-Moulineaux.

Merci pour votre soutien à une association indépendante de tout parti politique.

En remerciant celles et ceux qui ont déjà devancé cet appel.

Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme]
BP 20083 - 92133 Issy-les-Moulineaux - France
Boîte vocale : +33 (0)1 77 62 70 77

Email: contact@collectifvan.org


http://www.collectifvan.org

Dons à envoyer par chèque bancaire à l'ordre de : Collectif VAN

A adresser à : Collectif VAN - BP 20083 - 92133 Issy-les-Moulineaux - France

Par virement bancaire :
IBAN : FR76 30003 03983 00037272255 38
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http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=76760

Agenda - Expo-photo : "Gumri (Leninakan) : les temps du tremblement"

Agenda - Expo-photo "Gumri (Leninakan) : les temps du tremblement" - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le travail photographique et documentaire présenté dans cette exposition a été fait 25 ans après le séisme qui a ravagé la région nord de l’Arménie. Le 8 décembre à 12h, l'exposition fera suite à la messe commémorative en mémoire des victimes du séisme à la Cathédrale apostolique arménienne Saint Jean-Baptiste, 15 rue Jean Goujon, 75008 Paris.

Publié le 22 novembre 2013



Exposition de photographies "Gumri (Leninakan) : les temps du tremblement".

DU DIMANCHE 8 AU DIMANCHE 15 DÉCEMBRE
CATHÉDRALE APOSTOLIQUE ARMÉNIENNE DE PARIS

Photos de Grégory Combes, Elsa Fabre, et habitants de Gumri. Le travail photographique et documentaire présenté dans cette exposition a été fait 25 ans après le séisme qui a ravagé la région nord de l’Arménie.

A l’aide d’une approche participative originale, qu’ils ont appelé “dialogue photographique”, les deux photographes abordent avec les habitants la question du temps et de la reconstruction. Entrée libre. Exposition précédemment présentée à la Péniche Anako. Le 8 décembre à 12h, l'exposition fera suite à la messe commémorative en mémoire des victimes du séisme 25 ans après cette catastrophe.

Rens. : 06 31 17 64 45 (Elsa) ou 06 86 52 17 94 (Grégory).



http://www.armenoscope.com/agenda/rech.asp?type_info=ponctuelle

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=76976

Agenda - 14 décembre : projection du film "Bolis"

Agenda - 14 décembre : projection du film "Bolis" - Collectif VAN - www.collectifvan.org - L’UGAB Lyon a le plaisir de vous convier à la soirée cinéma-débat autour du film Bolis en présence de son réalisateur Eric Nazarian et de ses acteurs Jacky Nercessian et Serra Yılmaz. Samedi 14 décembre 2013, de 19h30 à 23h00.

Publié le 19 novembre 2013



Soirée cinéma-débat : Projection du film Bolis - le 14/12/2013 à 19h30

Bolis… la ville d’où le grand-père d’Armenak Mouradian, le musicien d’oud arménien, a dû fuir à la pointe de l’épée en 1915… Armenak y retourne pour la première fois à l’occasion d’un évènement musical important. La décision de rechercher le vieux magasin d’instruments de musique de son grand-père lui arrive naturellement. Il ne possède qu’une vielle photo et un nom de rue…

Le film Bolis met au jour l’histoire tragique d’une nation à travers de la brève rencontre entre un musicien arménien de la diaspora et une veuve turque. A partir d’une histoire simple, il nous rappelle la présence d’un passé enterré qui doit être discuté ouvertement par les héritiers des deux côtés.

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