LE PROBLEME DE LA PRIVATISATION
Ivan Samson,
Universite de Versalles Saaint-Quentin
L’ex - soviétique a été organisée juste sur les biens de l’Etat. Dans la période
1920-1990, les problèmes de réglage et d’utilisation des biens ont été uniquement
décidés par l’autorité soviétique et ce modèle économique a montré en réalité ses
limites. Les éléments de cet aspect sont dépassés mais aujourd’hui (dans les années
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1991 à 2000) dans quelques pays de transition (CEI ), l’utilisation des biens ne
permettent pas des changements même progressifs.
Selon le professeur Ivan Samson, la propriété, c’est comme un institut ne se
modifie pas à court terme, ni avec un décret. Si en économie il y a tentative de
privatisation, la propriété avec les méthodes «privatisation de masse» crée hâtivement
la propriété privée partout. Dans ce cas, elle est concentrée là où il y a une autorité
économique. (I. Samson, 1994).
Bien sur, l’autorité économique et administrative et leur politique déterminent
l’orientation et la destination de la réalisation de la propriété. La privatisation est un
élément très essentiel pour la transformation le système économique imparfait et est un
facteur fondamental pour la création d’espaces concurrentiels. L’option des pensées
économiques comportent la privatisation «le changement de propriété de l’Etat et
notamment son entreprise» et constitue l’un des programmes de mutation d’une
économie planifiée centralisée communiste en une économie de marché classique.
Pour la formation de l’économie de marché, il est nécessaire de diversifier la
propriété avec cependant une existence particulière à la propriété de l’Etat.
En réalité, la propriété privée d’entreprises et institutions financières
intermédiaires est un gage d’efficacité, de dynamisme et de compétitivité. Ces
dernières optent pour une privatisation par étape. Les autorités d’Ouzbékistan, comme
l’administration des Etats d’autres pays de transition, privatisent l’entreprise d’Etat
pour la création de structures économiques de marchés traditionnels et du
développement du secteur privé.
Selon des informations statistiques économiques, avant les réformes, de
nombreuses entreprises d’Etat de ce pays n’étaient pas rentables et cette situation a
formé un déficit budgétaire et a déstabilisé les macro-économies. Selon la théorie
économique néoclassique, la privatisation donne deux effets. En premier, on crée des
possibilités pour des activités sous toutes les formes d’entreprises, d’institutions
financières, d’initiatives privées et développe ainsi leur effet économique.
Deuxièmement, dans les processus de la privatisation, se forme la recette
complimenteuse et c’est une source nouvelle d‘investissements.
Bien sur la privatisation ne permet pas la formation d’assez de volume
d’investissement et cette mesure de stabilisation économique, à l’époque transitoire,
n’a pas donné une grande part d’investissement. Entre autres, elle permet
l’indépendance, le perfectionnement de soi-même, la conservation de l’investisseur
privé et développe l’initiative, la capacité concurrentielle.
Il est à noter que, dans le système privé la priorité est le maximum de profit et
de réduire considérablement les dépenses de production et de service.
La privatisation accélérée et en quelques années ne permet pas de croissance à
effets économiques rapides dans la plupart des pays de transition, notamment la
privatisation de masse. Cependant, dans la première étape de la réforme économique,
ce modèle de changement de bien peut présenter un risque pour l’Etat et les sociétés
par actionnariat.
En premier pour l’Etat, le risque est la perte du contrôle de l’entreprise publique.
Selon la loi concernant la création d’entreprise ( PME, entreprise fermière ), la plupart
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des entreprises sont exemptées de l’impôt sur le revenu pendant 3 ans. Par contre,
l’entreprise ayant des capitaux étrangers bénéficient de l’exemption pendant 7 ans. Ce
système est avantageux pour la création des systèmes privés et l’attraction des
investisseurs étrangers. Mais, il y existe des cas où les entreprises ferment, au bout de
3 ans dans le premier cas, au bout de 7 ans dans le second, avec pour la motif non-
rentabilité. Dans ces cas, ce régime de privilèges peut former une part du déficit
budgétaire de l’Etat.
En deuxième, les actionnaires des sociétés risquent la perte du contrôle des
opérations financières de leur filiale. Selon l’opinion les spécialistes en économie du
Centre d’Etudes prospectives et d’informations internationales Française, «l’épargne
qui achète ces droits ne finance pas directement des investissements nouveaux» ( CEP
II Economie mondiale 1990-2000: 2003, ). Il faut noter que, des propriétaires nationaux
et extérieurs peuvent alors exercer leurs droits de biens d’une manière efficace et
s’engager, notamment en agents qui ont été privatisées par acquisition par un groupe
d’actionnaire de contrôle ou par des entreprises étrangères contemporaines, tous
capables de superviser les gouvernements.
En troisième, ces facteurs augmentent les risques d’erreur dans les décisions
d’investissement, des futures banqueroutes ou reinforcingrent-seeking groups ( ces
formes d’oligarchies communistes et nomenclature) ( Fontanel J., Samson I., Coulomb
F. 2002 ). Notons que les deux premiers risques sont économiques et leurs résolutions
dépendent du gouvernement. Comme dit Greffe Haviez ( 1981 ): «si les individus
maximisent bien leur utilité, les arguments de la fonction d’utilité ne sont pas donnés
une fois pour toutes et qu’ils sont liés au type d’organisation dans laquelle les décideurs
évoluent». Par ailleurs, le troisième risque a un caractère politique et dépend de la
situation politique du pays.
Les autorités et spécialistes ouzbekès n’étaient pas pressés de privatiser les
grandes entreprises du secteur industriel jusque dans les années 1998 –2000.
Il y a des spécialistes qui sont contre la privatisation rapide. Par exemple, D.
Sappington et J. Stiglitz dans le théorème fondamental de la privatisation décrient que
des sociétés (nous voulons dire que ce n’est pas l’entreprise) ont des ressources très
limitées pour obtenir une croissance efficace de la production et une stabilité de la
situation sociale. Dans cette situation, les marchés concurrentiels sont stimulés par
Pareto-effet. ( D. Sappington, J.Stiglitz.1987 ). Pareto-effet: c’est une possibilité que
l’état peut assister dans un domaine d’économie, grâce à cette assistance quelques
sociétés gagent mais il n’y a pas de perdants. Cette assistance prend en considération
l’information limitée et le défaut du marché, aussi que les grand plans-dépenses de la
compensation de ce défaut.
En Ouzbékistan, pour croître économiquement, les sociétés par action et les
institutions financières, les entreprises et notamment les petites entreprises, ont des
possibilités très limitées à court terme. Il faudrait développer la concurrence inter -
entreprises, inter-bancaires et augmenter leur capacité concurrentiel. Pour cela il est
nécessaire d’avoir des spécialistes en économies très capables, connaissant les
pratiques d’activité des agents économiques internationaux, l’expérience et des experts
par rapport aux estimations du risque commercial extérieur, etc. Une privatisation de
la propriété à court terme a une influence positive pour le déficit du budget, ce qui
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résoudraient le problème d’endettement. Certains gouvernements n’entrent pas dans le
budget de recette de la privatisation, ce modèle est accordé par un groupe de
spécialistes. Cette réorganisation financière n’a pas de grande influence sur la situation
macroéconomique.
Il y a une bonne d’idée dans le nouveau marché si le mécanisme d’ajustement
du monopole et concurrentiel n’est pas créé. Une augmentation des prix pour les
consommateurs et les investisseurs est autorisé. D’autre part, le mécanisme
économique du monopole ne donnera pas d’effet si le marché ne développe pas le
concurrentiel inter-entreprises, inter-bancaires et entre d’autres agents économiques.
Dans ces cas, il n’y a pas de bon développement ni d’innovation.
En fait, dans la période de transition il y a les mêmes problèmes pour l’entreprise
d’Etat et l’entreprise privée: les problèmes d’organisation de production et de
financement d’opération d’investissement.
En réalité, la régularité de chacune des opérations de financement des projets
d’investissement moyen et global est contrôlée très régulièrement dans les grandes
entreprises, les services municipaux et les gouvernements par des institutions de
contrôle. Sont également contrôlés la conformité et la légalité des opérations de
financement de capital des entreprises et des banques. La tentative rentoorientation,
«rent-seeking», a lieu, aussi bien dans l’entreprise privé que dans l’entreprise d’Etat.
En Tchéquie, la privatisation avec les vouschers n’a pas eu d’effet. Ce plan rencontra
un demi- succès pour la création des marchés de capital.
Les autorités ouzbeks après une étude des processus d’utilisation des vouschers,
chèques, lettres de change dans la période de privatisation (Russie, Biélorussie,
Ukraine, Pologne, etc.) ont formulé leur opinion que la réalisation de ces documents
de paiement amenaient plus de problèmes et étaient des éléments favorisant la
criminalité financière. C’est pour cela que ces moyens de paiement ne sont pas utilisés
dans la situation de privatisation. Enfin, le rôle de la privatisation en économie dépend
de la réalisation des méthodes et des programmes.
Ces pour ça, n’utilise pas cette lettre de payement dans la situation de
privatisation.
Dans les années 1990 la privatisation et la création secteur privé modifier la
structure d’investissement et les sources de financement de l’économie ouzbèkè . Par
exemple, en 2004 la part du secteur privé ouzbèkè dans des investissements en capital
fixe représente plus de 58,6 %. Pour les cas de l’Ouzbékistan cela est encore plus
accentué d’un point de vue sectoriel parce que l’investissement productif s’est porté
surtout dans l’industrie.
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