Fardu chet tillari fakulteti Fransuz tili yo’nalishi 17. 81- guruh talabasi Qahhorov Firdavsning Tillarni o’qitish metodikasi va ta’lim texnologiyalari fanidan Oraliq nazorat ishi Plan



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Les études de cas

Description

Les études de cas sont des scénarios basés sur des situations de la vie réelle et auxquels on demande aux élèves de réagir.

On devrait encourager les élèves à développer eux-mêmes des études de cas basés sur des situations qu’ils trouvent intéressantes ou qui les affectent.

Les enseignants devraient se constituer un dossier d’études de cas basées sur des situations qu’ils observent dans la vie quotidienne en classe, en cour de récréation, dans la communauté ou dans les médias. Ces études de cas feront d’excellents scénarios à partir desquels on invitera les élèves à suggérer des options, à en considérer les conséquences et à suggérer un plan d’action pour faire face à la situation.

Adaptations

Les élèves peuvent réagir à une étude de cas individuellement, en groupes coopératifs ou tous ensemble.

Les élèves peuvent réagir à une étude de cas par écrit, en faisant un dessin ou en utilisant diverses stratégies de l’art dramatique en contexte.

Applications

Les études de cas sont particulièrement utiles aux étapes 3, 4 et 5 de la démarche de prise de décision. Elles permettent aux élèves d’apprendre à utiliser ces étapes dans des contextes fictifs, mais très près de leur réalité quotidienne.

Le diagramme de Venn

Description

Le diagramme de Venn n’est en fait pas vraiment une méthode d’enseignement, mais un outil qui permet de structurer la comparaison. On peut les utiliser pour comparer des personnes, des lieux ou des sujets. La description ci-dessous démontre comment utiliser le diagramme de Venn pour faire comparer des personnages:

-demander aux élèves de décrire le personnage A;

-inscrire les réponses des élèves au tableau;

-répéter ces étapes avec le personnage B;



-dessiner un diagramme de Venn comme celui-ci:

expliquer que dans ce diagramme, on inscrira dans la zone d’intersection ce que les personnages ont en commun. On inscrira dans les autres zones ce que chaque personnage a de différent de l’autre.

inviter les élèves à placer dans la zone appropriée du diagramme chacune des réponses écrites plus tôt au tableau;

faire comparer le nombre d’éléments dans chaque zone. Souligner en quoi un diagramme comme celui-ci aide à visualiser la quantité de traits ou de qualités que les personnages ont en commun (à voir s’ils sont très différents ou très similaires).

Adaptations

Faire plusieurs démonstrations avec l’ensemble de la classe avant de demander aux élèves de faire seuls des comparaisons.

Les diagrammes de Venn sont un excellent moyen de se représenter visuellement les similitudes et les différences entre des personnages, des lieux ou des sujets. Leur inconvénient est qu’ils ne fournissent pas beaucoup d’espace pour placer les réponses, qui doivent être très concises. Un exercice similaire, mais qui pose moins de problème pour placer les réponses consiste à dessiner un tableau de deux colonnes, une pour décrire le personnage A et l’autre pour le personnage B, et de faire surligner ou souligner ce que les personnages ont en commun.

Applications

Inviter les élèves à utiliser des diagrammes de Venn pour comparer les attitudes, les comportements ou les actions de deux personnages d’une histoire ou pour comparer leurs propres attitudes, leurs comportements ou leurs actions à ceux d’un personnage d’une histoire.

Les diagrammes de Venn sont utiles pour démontrer que:

tout le monde ne réagit pas de la même manière devant une situation ou un problème;

nous sommes tous uniques, mais avons aussi beaucoup en commun.



3. Utilisation des TBI pendant les cours

L’invention du tableau noir tel qu’on le connaît encore aujourd’hui date du début du XIXe siècle, quand James Pillans, professeur de latin à l’université d’Edimbourg, décrivit l’utilisation de tableaux et de craies pour l’enseignement de la géographie (même si l’usage de tablettes pour l’enseignement remonte à l’Antiquité). Encore aujourd’hui, comme l’indique [Bal17], le tableau noir garde, chez les mathématiciens et physiciens, au moins, un intérêt tel que la plupart de ces enseignants et chercheurs se font photographier devant un tableau noir rempli d’annotations (souvent des équations). Leur caractère visible de tous (favorisant les discussions), multiformat (pouvant représenter des textes, dessins, croquis), et effaçable partiellement ou totalement (favorisant les corrections) a sans doute beaucoup joué à cette diffusion, sans compter leur côté fruste (aisé d’accès, peu cher, ne peut tomber en panne). Récemment, les tableaux blancs, puis les tableaux blancs interactifs sont apparus. Il est encore trop tôt pour prédire le remplacement total des tableaux noirs, au moins dans les centres de recherche avancés, mais intéressons-nous ici à ces descendants modernes...

Un TBI (tableau blanc interactif, ou encore tableau numérique interactif, en anglais Interactive White Board, IWB, ou encore smartboard) est un tableau blanc spécial qui interprète et modifie en direct une image numérique projetée par le biais d’un vidéoprojecteur relié à un ordinateur. En touchant l’image sur le tableau avec un stylet ad hoc (ou même avec un doigt), les utilisateurs interagissent avec l’ordinateur comme s’ils pointaient avec une souris). L’usage du TBI (tableau blanc interactif) commence à s’intensifier à tous les niveaux du système scolaire français (14 000 TBI seraient, en 2008, dans les différents niveaux des écoles ou établissements français, pendant que le gouvernement de Grande-Bretagne attribuait, entre 2003 et 2005, la somme de 25 millions de livres pour l’achat de TBI). Pour autant, il semble n’y avoir que peu d’études vraiment fiables sur l’intérêt pédagogique de ce nouveau matériel ([Koe07] mais voir toutefois [MR0a] pour des résultats plus encourageants). Le propos de ce document est de présenter les grandes lignes de la recherche sur son utilisation, ainsi que les principales modes d’utilisation en contexte scolaire.

Ce que l’on sait

Décomposons le TBI en des éléments analysables. Le Document Utiliser le numérique dans des situations scolaires montre qu’une technologie numérique gère un système de symboles et a une capacité de traitement. Pour prendre l’exemple du TBI, la partie matérielle de ce dernier est du ressort de la technologie. Le TBI permet de diffuser un nombre assez important de systèmes de symboles différents (texte, image, son, vidéo), et permet de réaliser sur ces dernières de nombreuses opérations, qui seront détaillées plus bas dans ce document. Réaliser ce découpage peut permettre d’analyser précisément le système considéré : on peut tout à fait imaginer que deux technologies différentes aient les mêmes caractéristiques concernant les systèmes de symboles ou le traitement.

Plusieurs types de critères interfèrent de manière indépendante sur le fonctionnement d’un TBI, et donc son choix. Quatre paramètres principaux existent : la technologie, le type de projection, le type de communication et la mobilité. Tout d’abord, il y a trois types de fonctionnement de base (ce qui suit est tiré du document “Différents types de technologies TBI”, à consulter pour plus de renseignements :

TBI doté de la technologie « Inglass » : Des ondes lumineuses sont injectées dans le verre de base, et des détecteurs analysent rapidement et précisément les perturbations du toucher sur cette vitre, identifiant ainsi leur position.

TBI doté de la technologie « DViT » (Digital Vision Touch) : 4 caméras numériques situées dans les angles du tableau détectent automatiquement la position et le type d’objet en contact avec la surface (doigt, stylet, main à plat pour effacer, etc.).

TBI doté de la technologie « infrarouge » : Un cadre incorporant des cellules émettrices et réceptrices infrarouge est ajouté à l’écran. Ces cellules vont balayer en permanence la surface de l’écran et créer un quadrillage de rayons invisibles. À l’approche d’un objet ne laissant pas passer les rayons infrarouges (doigt, stylet, etc.), l’un des faisceaux va être interrompu, la position du point de contact va être immédiatement relevée et transmise.

TBI avec projection avant. Le vidéoprojecteur est situé à l’avant de l’écran (cas le plus fréquent), ce qui risque d’éblouir la personne qui présente. Des reflets peuvent également se former sur des parties de l’écran. Enfin, l’ombre du présentateur peut se projeter sur le tableau s’il n’y prend garde.

TBI avec projection arrière ou rétroprojection. Le vidéoprojecteur (ou la source d’émission intégrée) est situé(e) à l’arrière de l’écran ou dans sa matrice. Pas d’éblouissement, ni d’ombre causée par le présentateur, mais ces TBI sont plus coûteux et encombrants.

Deux manières de communiquer entre PC et tableau prédominent : la communication filaire (câble USB), fiable et efficace mais peu pratique car le présentateur ou les élèves risquent d’accrocher le câble USB. La communication en Bluetooth, très pratique, mais considérée par certains constructeurs comme insuffisamment fiable. Enfin, le TBI peut être fixé au mur (ce qui évite un étalonnage à chaque utilisation) ou bien mobile (monté sur roulettes), ce qui permet de l’utiliser dans plusieurs salles, mais rend l’étalonnage obligatoire (durée : env. 15 s).

Ci-dessous, nous listons les critères pour la conception de matériel pour le TBI en classe de langue étrangère.

1.Les activités ou tâches devraient être conçues autour d’un contexte authentique et devraient avoir un but communicationnel clair.

2.Les fichiers du TBI devraient aider les enseignants à « planter le décor » pour les activités de langue, à motiver les apprenants et à fournir un soutien linguistique et cognitif pour la réalisation des objectifs clairement définis.

3.Le but principal de la conception de supports pour le TBI devrait être d’améliorer l’apprentissage de la langue cible, et pas seulement de rendre les leçons plus intéressantes et amusantes. En d’autres termes, les leçons ne devraient pas être uniquement centrées sur l’apprenant, mais aussi axées sur l’apprentissage.

4.Lors de la conception des activités pour le TBI, les enseignants devraient mesurer le coût personnel de l’intégration de celui-ci contre ses bénéfices et son efficacité. En d’autres termes, ils devraient se demander si la même activité ne pourrait pas être mise en œuvre plus facilement par d’autres moyens.

5.Les fichiers du TBI devraient inclure des instructions sur comment les utiliser et à quelles fins. Une brève explication de l’objectif de l’activité, des objectifs d’apprentissage et de la manière de mettre en oeuvre l’activité, peuvent être rassemblés dans une page de présentation au début de chaque fichier. De cette façon, les fichiers du TBI peuvent être plus facilement partagés avec les autres.

6.Les fichiers du TBI devraient contenir une bonne quantité de données visuelles, audio et tactiles (Ex : intégrer des fichiers audio, vidéo et des images). Cependant, il est important d’équilibrer la quantité de stimuli présentés afin d’éviter la surcharge cognitive (par exemple en ajoutant trop d’images sur une page).

7.Les outils logiciels du TBI devraient être utilisés à bon escient afin d’ajouter des éléments d’interactivité physique et cognitive aux documents (par exemple, glisser-déposer, cacher/montrer, pointer/cliquer).

8.Les pages du TBI devraient prévoir un espace pour les contributions et les idées des élèves afin de permettre suffisamment de place pour l’expérimentation et la découverte par l’apprenant. Par exemple, en incluant la possibilité de modifier les instructions et / ou le contenu en fonction des interventions des apprenants, et d’ajouter des questions ouvertes.

9.La conception des pages du TBI devrait également encourager l’autonomie des apprenants, par exemple en incluant des liens vers des ressources Web que les étudiants peuvent utiliser en dehors de la classe et en faisant des références claires à propos des stratégies d’apprentissage et des techniques d’étude importantes à utiliser face à cette nouvelle ère de l’information.



10.Les pages du TBI devraient inclure uniquement des matériaux libres de droits, sauf si l’autorisation de publication a été fournie par les détenteurs du droit d’auteur. Ci-dessous, nous fournissons des informations supplémentaires sur les questions de droits d’auteur.

Le TBI ne devrait pas être utilisé pour lui-même, mais pour améliorer l’apprentissage dans une classe de langue étrangère communicative. Ainsi les enseignants doivent savoir comment gérer la classe et les activités de manière efficace.
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