Tachkent, capitale de l’Ouzbékistan : la Ville de Pierre 11-15 group Ismailova Sh. Shaxobiddinova D. Cette ville moderne de 4 millions d'âmes, aux grands boulevards et aux beaux monuments, mérite son titre de capitale de l’Ouzbékistan à bien des égards. Difficile de croire qu’une contrée si exotique pour un occidental comme l’Ouzbékistan puisse avoir une ville si grande et si moderne. L’ignorance occidentale est presque proportionnelle à la taille de Tachkent, plus grande ville d’Asie Centrale, avec ses plus de 2 millions d’habitants, 4 millions si on compte l’agglomération. Nous parlons ici de la quatrième plus grande ville de l’ex-URSS et de la CEI, juste derrière Moscou, Saint-Pétersbourg et Kiev, une ville qui a plus de 2000 ans d’histoire, que je vous propose de visiter. Tachkent est la capitale de l’Ouzbékistan depuis 1930. « Tach » veut dire « pierre », « Kent », « ville », tout simplement. Elle fut, du temps de l’URSS, une des villes préférées des soviétiques. Quand on est un simple touriste, on peut comprendre pourquoi. Tachkent est une ville plus fraîche que le désert environnant, grâce aux montagnes toutes proches. Cette ville moderne, aux grands boulevards et aux beaux bâtiments, mérite son titre de capitale de l’Ouzbékistan à bien des égards, comme nous le verrons. Pendant la seconde guerre mondiale, la russification de la ville fut intensifiée par les réfugiés russes, fuyant la guerre. Avec eux, ils apportèrent l’industrie lourde, la mettant à l’abri de l’avancée allemande. De nombreux monuments, construits tout au long d’une histoire riche en événements furent détruits dans le séisme de 1966, un siècle après un autre grand séisme qui toucha la ville. Ce dernier tremblement de terre détruisit les habitations de 300000 personnes. La ville, sévèrement touchée, bénéficia d’un élan de générosité de pays étrangers, qui participèrent à la reconstruction. Nous pouvons voir certains quartiers de nos jours avec le style architectural du pays qui avait aidé à l’époque Tachkent. Pendant la seconde guerre mondiale, la russification de la ville fut intensifiée par les réfugiés russes, fuyant la guerre. Avec eux, ils apportèrent l’industrie lourde, la mettant à l’abri de l’avancée allemande. De nombreux monuments, construits tout au long d’une histoire riche en événements furent détruits dans le séisme de 1966, un siècle après un autre grand séisme qui toucha la ville. Ce dernier tremblement de terre détruisit les habitations de 300000 personnes. La ville, sévèrement touchée, bénéficia d’un élan de générosité de pays étrangers, qui participèrent à la reconstruction. Nous pouvons voir certains quartiers de nos jours avec le style architectural du pays qui avait aidé à l’époque Tachkent. La Place de Tamerlan La Place de Tamerlan occupe une position tout à fait centrale dans la ville, où se trouvait notre hôtel, le plus grand du pays, l’hôtel Uzbekistan, dans lequel l’esprit de Intouristrôde encore… Cette place était, comme bien d’autres en URSS, édifiée à la gloire du régime communiste, où se succédèrent les statues de Lénine, puis Staline, Karl Marx et un général russe… pour finalement laisser la place en 1996 à la statue équestre actuelle du grand conquérant Tamerlan.
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