Sa maison était le centre où se réunissaient les hommes des plume, les poètes. Il donna a son fils une éducation parfaite. Alicher montra de grandes capacités dans tous les domaines, il aimait toutes les sciences. Dès son adolescence, Alicher composait des vers en deux langues. Dès 15 il était comme sous le surnom de «bilingue». Ses poésies en ouzbèk et en persan étaient magnifique. Cet adolescent qui signait «fani», ses vers en langue persane et «Navoï» ses poésies ouzbèks, trouvait dans l’océan des mots des perles si merveilleuses que les plumes de ses rivaux s’arrêtaient.
1/1/1980
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A.Navoï a écrit près