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Contemporains
d'Alsace
(Photo DNA - Christian Lutz-Sorg)
Garth Laurence, René Matter et Paul Collin étaient au programme d'un récent concert de l'Orchestre universitaire de Strasbourg.
Ce sont des musiciens de la région, actifs à Colmar ou à Mulhouse. Et l'orchestre de Claude Brendel, qui a sillonné l'Alsace cet hiver, les avait inscrits au programme d'un récent concert donné au Palais des Fêtes au profit de l'ADRET, association pour l'aide au développement de la recherche sur la régénération de la rétine et sa transplantation. Au même programme, la Bacchanale de Samson et Dalila de Saint-Saëns et le Boléro de Ravel, avec la Fantaisie sur des mélodies populaires hongroises de Liszt, finement jouée en soliste par la jeune pianiste mulhousienne Marie Stoeckle.
Une page riche d'idées
Mais la soirée était vouée d'abord à quelques pages contemporaines de compositeurs vivant en Alsace. Les Cyclopes de Garth Laurence, un Anglais mulhousien depuis trente ans, se présentent sous la forme d'une sinfonietta reliant thématiquement ses trois parties, sur des rythmes irréguliers assez obstinément répétés. La vivacité du trait empêche le mouvement de clopiner, et rappelle par moments une marche façon Prokofiev. René Matter avait vingt ans quand il écrivit son Capriccio pour grand orchestre, et celui qui dirigea de très longues années le conservatoire de Colmar était alors l'élève de Léon Justin Kauffmann, compositeur alsacien tué dans le bombardement de septembre 1944 à Strasbourg. Une page riche d'idées, avec des envolées lyriques des cordes, avec aussi de vigoureuses impulsions de cuivres et une linéarité proches de Hindemith. Paul Collin, altiste et professeur à Mulhouse, a dédié son Ousbach 2000 à l'Orchestre U de Claude Brendel, et réunit dans le titre de l'oeuvre les initiales de l'orchestre et la célébration Bach. Le choral qui figure dans la première édition de l'Art de la fugue est cité au centre de l'oeuvre. Le modèle du concerto de Berg est suggéré en filigrane. Le début s'achemine lentement vers le choral, le final semble s'en éloigner - il y a là une belle recherche orchestrale, finement traitée. Dans ces pages contemporaines, données en présence des compositeurs, comme dans les autres oeuvres, l'Orchestre U et son chef auront ainsi donné toute la mesure de leur savoir-faire.
Marc Munch
© Dernières Nouvelles D'Alsace, Jeudi 25 Mai 2000. - Tous droits de reproduction réservés
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120 000 F pour l'ADRET
Electricité de Strasbourg remet aujourd'hui jeudi un chèque de 120 000 F à l'Association pour l'aide au développement de la recherche sur la régénération de la rétine et sa transplantation (ADRET). La somme remise à l'association servira notamment à maintenir des personnels au laboratoire de physiopathologie cellulaire et moléculaire de la rétine et à participer à son équipement. Le laboratoire est implanté aux Hôpitaux universtaires de Strasbourg. Electricité de Strasbourg avait associé l'ADRET, au mois de mai, aux manifestations célébrant son 100e anniversaire. Au cours de deux soirées, des fonds avaient été collectés afin de soutenir les recherches menées à Strasbourg contre la dégénérescence de la rétine.
© Dernières Nouvelles D'Alsace, Jeudi 22 Juin 2000. - Tous droits de reproduction réservés
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3 800 m pour se surpasser
Lucien (non-voyant) de Cernay et Christine (responsable de l'expédition) à 3800 m d'altitude. L'expédition a été financée par les kilomètres solidarité courus par les enfants strasbourgeois. (-)
Ils étaient cinq à partir aux aurores en ce jour d'été. Cinq non-voyants alsaciens et francs-comtois qu'accompagnaient 12 étudiants futurs éducateurs sportifs et cinq guides de haute montagne. Il leur a fallu deux jours de marche pour parvenir au pied du Bishorn, à plus de 4000 m d'altitude.
« Dix centimètres à ta gauche, attention, stop, tourne-toi un peu, voilà, là, une marche, c'est bien... » Jean Kuhn, kinésithérapeute à Strasbourg, la main droite posée sur le sac de son guide, écoute attentivement ses conseils. C'est le seul moyen qu'il a d'assurer sa marche dans ce chemin de haute-montagne. Jean est aveugle, un non-voyant comme on dit maintenant. Et c'est peut-être justement parce qu'il ne peut plus voir, qu'il a choisi de défier les éléments et de vaincre ce sommet. Dimanche 25 juin, 7 h, les 22 personnes qui constituent le groupe s'arrêtent. Le temps pour tout le monde de respirer un peu et de s'organiser en cinq cordées pour aborder le glacier. Le temps est incertain, Christine Loehle, la responsable du groupe et formatrice APA (activités physiques adaptées auprès de personnes handicapées et inadaptées) craint que la course ne doive être arrêtée plus tôt que prévu. « Ce serait vraiment dommage de ne pas pouvoir aller jusqu'au bout. Nous avons reçu 23 000 F des enfants qui ont couru le kilomètre solidarité pour cette opération. Ils seraient bien déçus, si on lâchait maintenant. » C'est l'association Nouvel Envol dont l'objectif est de promouvoir le sport auprès des personnes handicapées et inadaptées qui en était bénéficiaire et qui est à l'origine de l'expédition.
Trois heures de glacier
C'est sans doute le moment le plus émouvant pour tous : celui où l'on chausse les crampons. A partir de cet instant-là, le guide de chaque cordée n'a plus le droit à l'erreur. Chaque faux-pas qu'il fera, sera fatalement répété par ceux qui le suivent. Trois heures de marche sur la glace, tantôt dans le brouillard, tantôt sous le soleil. L'effort est intense, mais pour les non-voyants, seule la concentration, guide leurs pas. Pas question pour eux de voir le paysage, un espace qu'ils n'ont que le loisir d'imaginer. Alors, qu'est ce qui les pousse à marcher encore, et encore dans ces conditions difficiles vers le sommet ? « Pour moi, avant tout il s'agit de se surpasser car si moi je suis capable de faire ça, d'autres après moi auront aussi le courage de se lancer dans l'aventure. » Gérard, pharmacien à Pechelbronn est président de l'association ADRET et le rôle de pionnier n'est sa seule motivation. Il a décidé de participer à l'expédition avec 4 de ses amis non-voyants dont Jean-Pierre Ringler, conseiller municipal à Strasbourg, pour donner un coup de pouce à son association pour l'aide au développement de la recherche sur la régénération de la rétine et sa transplantation. « J'espère bien que d'ici quelques heures, j'aurai gagné mon pari... » Les pas crissent dans la neige, de cette régularité que seuls les montagnards connaissent. Un pas, un autre, puis un autre encore, l'impression qu'on en finira jamais. Là-bas pourtant le sommet semble se rapprocher petit à petit. 10 heures du matin et la première cordée franchit cette ligne d'arrivée symbolique qu'est le pied du sommet. On ne sent pas le froid, on ne pense plus qu'à sa victoire. L'endroit vaut bien une halte, le temps de savourer une belle réussite à 3800 m. Malheureusement les conditions climatiques ont mis un terme à l'ascension alors que le plus dur avait été fait. Pour Jean-Pierre, Lucien, Jean, Gérard et Dominique, ce n'est pas une simple victoire sur la montagne, celle qu'ils savourent maintenant, c'est bien une victoire sur eux-mêmes. Pour eux, un espace de plus s'est ouvert dans la nuit.
© Dernières Nouvelles D'Alsace, Jeudi 10 Août 2000. - Tous droits de reproduction réservés
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Le compte à rebours
a commencé
Une délégation américaine viendra grossir les pelotons du 33e Circuit du Kochersberg.(Photo DNA)
Chaque année, le Circuit du Kochersberg attire les foules de cyclotouristes occasionnels ou confirmés. Lors de la 33e édition, dimanche prochain, une délégation d'Américains découvrira les routes alsaciennes.
Le soleil devrait être de la partie, ce dimanche 17 septembre, pour la 33e édition du Circuit du Kochersberg. Et c'est sans aucun doute sa présence qui permettra aux Randonneurs de Strasbourg de battre le record de participation établi l'année passée : 6 481. Cette épreuve de masse, la plus populaire de l'Est, permettra à une délégation de 22 Américains de découvrir les routes alsaciennes.
Quatre circuits
Ainsi, à partir de 7h et jusqu'à midi les pédaleurs confirmés ou occasionnels s'élanceront du Marché-Gare de Cronenbourg pour s'offrir une belle partie de manivelle sur les quatre circuits proposés ( 27, 47, 67 et 88 kms) par les organisateurs. L'inscription préalable (15 F dont 1 F sur chaque participant payant sera reversé à ADRET Alsace) chez un des vélocistes participants à l'opération (voir liste dans l'édition du 7 septembre) ou par internet via le nouveau site mis en place par les organisateurs : www.circuitdukochersberg.org. Pour plus de renseignements contactez Renaud Masse :*/fax 03.88.98.51.05.
© Dernières Nouvelles D'Alsace, Jeudi 14 Septembre 2000. - Tous droits de reproduction réservés
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« Relais pour la vue » :
de Valff à Montpellier
• • • Vingt coureurs, dont la moitié des handisportifs, s'élanceront ce matin de Valff, près d'Obernai, pour participer au « Relais pour la vue », un rallye dont l'objectif est de faire connaître les maladies de la rétine. L'arrivée est prévue dans dix jours à Montpellier. Joseph Castillo et Carol Hans, la soixantaine tous les deux, courront en tandem, attachés par une ceinture. C'est Joseph qui donnera le rythme : Carol, son ami d'enfance - ils viennent du même village de l'Hérault - est atteint de rétinite pigmentaire, il est pratiquement aveugle. Ils courent ensemble depuis 17 années et participent pour la deuxième fois au « Relais pour la vue », initié depuis trois ans, par SOS rétinite France. Cette fois, Joseph et Carol parcourront une quinzaine de kilomètres par jour. Ce relais, organisé avec le soutien des Rotary clubs et Inner Wheel, s'arrêtera dans neuf villes de la moitié Est de la France. Quand les coureurs arriveront à Montpellier, le 28 septembre, ils auront parcouru plus de 1 000 kilomètres en relais. « Nous voulions, cette année, partir de Strasbourg, principalement à cause de sa notoriété en matière d'ophtalmologie », indique Henri Maziol, membre du conseil d'administration de l'association SOS rétinite France. Installée à Strasbourg, l'équipe du Pr José Sahel compte en effet parmi les meilleures en matière de recherche sur les maladies de la rétine. Les plus courantes de ces affections sont les rétinites pigmentaires et les dégénérescences maculaires liées à l'âge. Les premières touchent 20 à 30 000 personnes en France.
Des conférences dans les villes étapes
Pour sensibiliser le public à ces maladies, le Dr Christian Hamel, chercheur à l'INSERM de Montpellier, va suivre le relais et animer des conférences dans les villes étapes. L'occasion aussi pour lui, et les autres chercheurs invités, de faire le point sur leurs recherches et sur les avancées thérapeutiques. « Toutes ces maladies rétiniennes sont génétiques. Dans le cas de la rétinite pigmentaire, les cellules visuelles, situées dans la rétine, sont atteintes : le malade perd d'abord les bâtonnets, servant à la vision nocturne, puis les cônes qui permettent de voir des choses précises, les couleurs. » Pour des raisons encore non élucidées, les cônes, c'est-à-dire les cellules vraiment utiles, disparaissent aussitôt après les bâtonnets. Ce « mystère » est l'une des causes de l'absence de traitement pour combattre la rétinite pigmentaire. Mais, les différentes équipes de chercheurs sont sur des pistes. « Les associations sont nécessaires au financement de la recherche sur les maladies de la rétine car l'Etat n'y consacre pas de sommes importantes », souligne le Pr Dreyfuss qui travaille à Strasbourg - l'équipe du Pr Sahel, dont il fait partie, est d'ailleurs aidée financièrement par l'association ADRET. Les chercheurs strasbourgeois travaillent, au niveau thérapeutique, sur des greffes de bâtonnets et sur des molécules chimiques permettant de conserver les cônes. A Montpellier, un autre axe thérapeutique prometteur est exploré : la génétique. En attendant une véritable thérapie, elle permet de prévenir le risque de transmission de la maladie à la descendance.
Ju. M. SOS rétinite France : 276 impasse de la Baume-route de Vauguières, 34 000 Montpellier. * 04 67 65 06 28
© Dernières Nouvelles D'Alsace, Mardi 19 Septembre 2000. - Tous droits de reproduction réservés
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60 artistes sur scène pour
« La Périchole » d'Offenbach
« La Périchole » d'Offenbach avec les 60 artistes de l'association Vol'ut et les musiciens du philharmonique d'Obernai.(Photo DNA)
• • • Fondée pour populariser l'art lyrique, l'association Vol'ut présente vendredi 17 et samedi 18 novembre, à Bischheim, une truculente opérette de Jacques Offenbach. Les représentations sont données au bénéfice de l'ADRET, association d'aide à la recherche contre les maladies rétiniennes, avec le soutien du Lions Club Strasbourg Cathédrale. C'est « une version dépoussiérée mais qui ne s'écarte pas de la partition originale de La Périchole » qui sera chantée à Bischheim par une soixantaine d'artistes amateurs confirmés, accompagnés par l'orchestre philharmonique d'Obernai, dirigé par Sylvain Dedenon. Créée en 1994 par Eve Corneaux, l'association de chant lyrique Vol'ut s'est déjà produite sur différentes scènes régionales (Obernai, Mutzig, lllkirch, Ostwald) avec « Manon » de Massenet ou « Orphée aux enfers » d'Offenbach. Soucieuse de faire connaître l'art lyrique au plus grand nombre, c'est un très grand nom de l'opérette française que propose Vol'ut à la salle du Cercle de Bischheim. Né en Allemagne dans une famille de musiciens, Jacques Offenbach a créé à Paris, en 1855, les Bouffes-Parisiens, une salle où seront données ses principales créations, comme « Orphée aux enfers », « La Belle Hélène », « La grande duchesse de Gerolstein » et, bien sûr, « La Périchole ». Difficile, bien sûr, de résumer en quelques lignes « La Périchole » qui, à l'instar des autres opérettes d'Offenbach, bouillonne de rebondissements inattendus, de quiproquos et d'amours contrariés. Aux spectateurs de découvrir les aventures de Piquillo et de La Périchole, un couple de chanteurs amoureux, aux prises avec les terribles Don Miguel de Panatellas et Don Pedro de Hinoyosa...
« La Périchole » sera donnée les vendredi 17 et samedi 18 novembre, à 20h, à la salle du Cercle, 2b, rue de l'Église à Bischheim. Prix d'entrée : 90 F, réservation à la FNAC Strasbourg et au 03 88 20 28 40 ou 03 88 62 68 74.
© Dernières Nouvelles d'Alsace, Mercredi 15 Novembre 2000. - Tous droits de reproduction réservés
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Une forêt vosgienne
au coeur de la ville
« Lumières d'espoir ». C'est le nom d'une initiative organisée pour la troisième année consécutive par l'association pour l'aide au développement de la recherche sur la régénération de la rétine et sa transplantation (Adret). Cette opération vise à la fois à informer et à sensibiliser le grand public à ces maladies qui frappent 1,5 million de personnes en France et un tiers des personnes âgées de plus de 75 ans, et à collecter des fonds. Elle commence aujourd'hui samedi, place Kléber, pour se terminer le 31 décembre. Le principal thème de « Lumières d'espoir » porte cette année sur le calendrier de l'Avent. Une forêt vosgienne sera reconstituée avec terre et sapins sur une scène géante dressée sur la place. Elle accueillera un calendrier de l'Avent représenté par vingt-quatre lampions. Ces lampes de différentes formes seront allumées par un veilleur de nuit au fur et à mesure de l'avancement vers Noël. Le veilleur de nuit allumera à chaque fois un lampion différent pour symboliser chaque jour de la période de l'Avent. Tous les jours vers 18h, un comédien viendra compter une histoire sur Noël en Alsace, elle aussi différente chaque jour.
Faire un don
Le public pourra faire un don, notamment en achetant des billets donnant droit à la participation à un tirage au sort avec de nombreux lots à gagner, en particulier plusieurs repas offerts par les Etoilés d'Alsace, les plus grands restaurants de la région. Des bénévoles de l'association et des chercheurs du laboratoire seront présents tous les jours, place Kléber, afin d'informer le public, d'animer la place et de recueillir des dons. L'Adret a été créée en 1994 par des malades, des scientifiques et des bénévoles. Elle compte aujourd'hui près de 400 membres.
© Dernières Nouvelles d'Alsace, Samedi 25 Novembre 2000. - Tous droits de reproduction réservés
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Les 24 heures de Vendenheim Pour le 14e Téléthon, les clubs et associations de la commune de Vendenheim organisent différentes animations au centre omnisports. Rendez-vous vendredi soir à partir de 19h et samedi de 7h à 19h.
La municipalité, le comité des fêtes et les associations locales convient les habitants à déposer leurs promesses ou leurs dons tout en assistant aux activités et démonstrations figurant au programme des « 24 heures de Vendenheim pour le Téléthon ». Trois défis seront notamment relevés pour l'occasion : Vendenheim-Brest (cyclisme), La conquête de l'Everest (escalade) et L'écharpe la plus longue (Envolée). L'AFM annonce également la visite de Julien Pillet, médaillé olympique à Sydney en sabre. Voici la liste des associations participantes et des activités proposées durant ce week-end de solidarité : - APEV : vente de gaufres vendredi 8 décembre, le soir, et samedi 9 décembre, l'après-midi ; - Scouts : vente de gâteaux vendredi 8 décembre, le soir et samedi 9 décembre, l'après-midi ; - Les P'tits loups : atelier masques et maquillages, samedi 9 décembre, à 14h ; - Judo-Club Aïkido : démonstrations vendredi 8 et samedi 9 décembre à 21h ; - Les P'tits loups : sketches, le samedi 9 décembre, à 14h ; - Amis de la maison alsacienne : puzzle géant à reconstituer vendredi 8 décembre, le soir, et samedi 9 décembre, l'après-midi ; - Union cycliste : navette Vendenheim-Eckwersheim (samedi 9 décembre, l'après-midi), Home-trainer (défi) (vendredi 8 et samedi 9 décembre), démonstration vélo-ball (samedi 9 décembre, l'après-midi) ; - Secouristes : opération « sauvetage » vendredi 8 décembre, le soir et samedi 9 décembre, l'après-midi ; - Football-Club : tirs au but, samedi 9 décembre, de 14h à 17h ; - L'Envolée : tennis de table, jeux de société, échecs - écharpe (défi) vendredi 8 décembre à partir de 19h et samedi 9 décembre ; Chorale des jeunes, samedi 9 décembre, à 12h ; - AGF : aérobic adultes - country, danse de salon, le vendredi 8 décembre de 20h30 à 22h30 ; - AGF : éveil corporel enfants, samedi 9 décembre, à 14h30 ; aérobic kids-ados, samedi 9 décembre à 15h ; - Club Escalade : descente tyrolienne vendredi 8 décembre, le soir ; record du plan incliné, samedi 9 décembre, l'après-midi ; - La Licorne : tir à l'arc, vendredi 8 décembre de 20h à 22h.
Avec les Bricolettes
Le club AGF de Vendenheim, « les Bricolettes » a proposé une journée durant un stand, place des Tilleuls. Sous un auvent, des tables couvertes d'objets confectionnés au fil des réunions les jeudis, de 20h30 à 22h30 à la salle des fêtes. Couronnes de l'avent, Pères Noël en toile de jute, motifs décoratifs à croquer, les visiteurs ont eu l'embarras du choix. Variété aussi pour les occasions de picorer, entre le jus d'orange au miel, le vin chaud ou les gaufres. Au plaisir de réaliser de jolies décorations s'est ajoutée pour l'équipe des Bricolettes la joie d'aider une noble cause. Le bénéfice de la vente servira à soutenir la recherche en ophtalmologie et l'ADRET, l'association pour l'aide au développement de la recherche sur la régénération de la rétine et sa transplantation-Alsace.
© Dernières Nouvelles d'Alsace, Jeudi 7 Décembre 2000. - Tous droits de reproduction réservés
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Randonnées pour la vue
à Haguenau
Les membres des Lions-Clubs de Wissembourg, Niederbronn-les-Bains, Strasbourg (Kléber, Rouget-de-l'Isle, Orangerie, Marseillaise, Vauban Léo) et Haguenau, avec le partenariat d'autres associations, organisent le 8 avril de 8 h à 19 h au parc des sports à Haguenau les premières randonnées pour la vue, « Lumière d'Espoir », afin de sensibiliser le public aux difficultés rencontrées par les malvoyants et non-voyants dans leur vie quotidienne. Les fonds collectés iront intégralement à l'ADRET, association pour l'aide au développement de la recherche sur la régénération de la rétine et sa transplantation. Cette manifestation s'articulera autour de 4 circuits de randonnée : pédestre de 13 km., cyclo de 25 et 60 km., équestre de 20 km. Prix d'inscription des circuits : adultes 30 F, mineurs 10 F, jeunes de moins de 12 ans gratuit. L'après-midi, à partir de 14 h et jusqu'à 18 h, deux circuits touristiques guidés à travers la ville de Haguenau seront proposés. Les inscriptions sont à déposer à l'office de tourisme de Haguenau, place de la Gare, et sur place le jour même. Pour tout renseignement : * 03 88 93 86 99 (tél./fax.)
© Dernières Nouvelles d'Alsace, Dimanche 11 Mars 2001. - Tous droits de reproduction réservés
A poursuivre à partir du 18 avril 2001
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